« Pierre Vidal-Naquet » : différence entre les versions

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{{citation|citation=Pendant les années algériennes, mon but principal n’était pas de révéler les tortures — en un sens, tout le monde les connaissait ; c’était de dire la responsabilité de l’État au plus haut niveau. On dit souvent que je suis un vieux dreyfusard, et que cela ne sert plus à rien. Mais cela sert quand même. Je suis en train de lire les écrits de Jaurès, que Madeleine Rebérioux vient de republier [4]. Jaurès insiste tout particulièrement sur le danger de l’état-major, qu’il présente comme une machine à faire des faux. Or l’armée française est sur ce point d’une extraordinaire constance.
|précisions=Entretien paru dans la revue ''Vacarme'' n°17 à l'automne 2001.}}
{{Réf Article
|titre=La vérité de l'indicatif. Entretien avec Pierre Vidal-Naquet
|auteur=Propos recueillis par Philippe Mangeot & Isabelle Saint-Saëns
|publication=Site Pierre Vidal-Naquet.net
|date=automne 2001
|page=url
|numéro=
|url=http://www.pierre-vidal-naquet.net/spip.php?article19}}
 
{{citation|citation=En un sens, il y a une sorte de décalage entre mon activité d’historien contemporain, qui est consacrée à démonter les faux, et mon activité d’historien de l’Antiquité, qui est presque entièrement consacrée à reconstituer les fabulations. Ce qui fait le lien entre les deux c’est la fabulation : d’un côté je la traite dans ses rapports avec la vérité, de l’autre je l’étudie dans sa structure propre. C’est peut-être artificiel, mais je ne le crois pas.
|précisions=Entretien paru dans la revue ''Vacarme'' n°17 à l'automne 2001.}}
{{Réf Article