« André Malraux » : différence entre les versions
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{{citation|En profondeur, tout civilisation est unpénétrable pour une autre.}}
{{Réf Livre|titre=La Voie Royale|auteur=André Maurois|page=42|année=1971|éditeur=Grasset}}
{{citation|La jeunesse est une religion dont il faut toujours finir par se convertir...}}
{{Réf Livre|titre=La Voie Royale|auteur=André Maurois|page=59|année=1971|éditeur=Grasset}}
{{citation|On ne pense pas sans danger contre la masse des hommes. Vers qui irais-je, sinon vers ceux qui se défendent comme moi?}}
{{Réf Livre|titre=La Voie Royale|auteur=André Maurois|page=58|année=1971|éditeur=Grasset}}
{{citation|Que faire des cadavres des idées qui dominaient la conduite des hommes lorsqu'ils croyaient leur existence ''utile'' à quelque salut, que faire des paroles de ceux qui veulent soumettre leur vie à un modèle, ces autres cadavres? L'absence de finalité donnée à la vie était devenue une condition de l'action.}}
{{Réf Livre|titre=La Voie Royale|auteur=André Maurois|page=37|année=1971|éditeur=Grasset}}
{{citation|Se refuser sans réserves au monde, c'est toujours se faire souffrir terriblement pour se prouver sa force.}}
{{Réf Livre|titre=La Voie Royale|auteur=André Maurois|page=97|année=1971|éditeur=Grasset}}
{{citation|Vivante et morte comme lit d'un fleuve, la Voie Royale ne menait plus qu'aux vestiges que laissent derrière elles, tels des ossements, les migrations et les armées.}}
{{Réf Livre|titre=La Voie Royale|auteur=André Maurois|page=71|année=1971|éditeur=Grasset}}
== Discours, articles, entretiens ==
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