« Immigration » : différence entre les versions
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=== [[Hakim El Karoui]] ===
{{citation|Dans la société française, les boucs émissaires ont été les juifs, mais aussi, au Moyen Age, les « Lombards », à l'époque moderne, les protestants ou les catholique selon les camps, les agents royaux (du fisc par exemple) ou inversement les mendiants ou les prostituées, les « aristocrates » et parfois les prêtres à la Révolution; les « capitalistes », les « bourgeois » à l'époque contemporaine, les immigrés non encore assimilés à toutes les époques. Aujourd'hui, le bouc émissaire, ce sont les Arabes. Demain, ce seront peut-être les Noirs ou les Chinois. Les Arabes, parce qu'ils portent encore une différence (leur nom, leur religion) mais aussi et surtout parce que la société française se rend compte qu'ils sont de moins en moins différents. Leur différence apparaît alors d'autant plus importante qu'elle est finalement de plus en plus résiduelle. [...] Ainsi, plus les « étrangers » ressemblent aux Français, plus ils peuvent attirer la violence sur eux, comme les juifs allemands dans les années trente, qui n'avaient jamais été autant « allemands », et « menaçaient » alors de se confondre avec les « vrais Allemands ». Ce que le groupe majoritaire leur reprochait, c'était de trop leur ressembler !
}}
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{{citation|Le métissage, quant à lui, se porte bien [
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{{Réf Livre|titre=La colonisation de l'Europe
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{{Réf Livre
|titre=Crime and the Académie Française: dispatches from
|éditeur=Viking
|année=1993
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{{citation|On peut intégrer des individus ; et encore, dans une certaine mesure seulement. On n’intègre pas des peuples, avec leur passé, leurs traditions, leurs souvenirs communs de batailles gagnées ou perdues, leurs héros.
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{{Réf Livre|titre=La Ve République, 1958-1995 : de De Gaulle à Chirac
|auteur=Arnaud Teyssier
|éditeur=Pygmalion
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{{citation|citation=Ce qu’il faut dire aux Algériens, ce n’est pas qu’ils ont besoin de la France, mais que la France a besoin d’eux. C’est qu’ils ne sont pas un fardeau ou que, s’ils le sont pour l’instant, ils seront au contraire la partie dynamique et le sang jeune d’une nation française dans laquelle nous les aurons intégrés. J’affirme que dans la religion musulmane rien ne s’oppose au point de vue moral à faire du croyant ou du pratiquant musulman un citoyen français complet. Bien au contraire, sur l’essentiel, ses préceptes sont les mêmes que ceux de la religion chrétienne, fondement de la civilisation occidentale. D’autre part, je ne crois pas qu’il existe plus de race algérienne que de race française [
|précisions=Intervention du député Jean-Marie Le Pen pour soutenir le maintien de l'Algérie française, le 28 janvier 1958, à l'Assemblée Nationale
}}
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{{Citation
|Comment expliquer dans ces conditions la mise en route d'un tel flux migratoire? Par les besoins de l'économie en main-
|original=
|langue=fr
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=== [[Emmanuel Macron]] ===
{{citation|Contrairement à ce que certains disent, nous ne sommes pas aujourd’hui confrontés à une vague d’immigration. [
}}
{{Réf Article
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=== [[Patrick Peugeot]] ===
{{citation|citation=L'existence d'un problème d'immigration en France n'est pas contestable. « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde », avait clamé Michel Rocard. Avant d'ajouter « qu'elle doit en prendre sa juste part ». Certes, il n'est pas commode de définir cette juste part. Seule certitude, la France, prisonnière de sa frilosité, ne l'assume pas. Et elle gaspille d'inouïes opportunités. Quand donc acceptera-t-on enfin l'incontestable : la majorité des adultes immigrants arrive formée, et leur niveau moyen est supérieur à celui des Français ; ils pèsent moins sur les résultats de l'assurance-maladie que les Français, et gonflent, quand on les autorise à travailler, la cohorte des cotisants (à la Sécurité sociale, la retraite, l'
}}
{{réf Livre
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