« André Pieyre de Mandiargues » : différence entre les versions

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{{Réf Livre|titre=Soleil des loups|auteur=André Pieyre de Mandiargues|éditeur=Gallimard|Collection=L'Imaginaire|année=1979|année d'origine=1951|page=98|section= L’Étudiante|ISBN=9-782070-283477}}
 
{{citation|citation= La charlotte à la Reine, la charlotte aux abricots sont un assez inoffensif hors-d'œuvre malgré le beau coloris vert et feu de la seconde, mais comment Marie Mors eût-elle résisté à la charlotte Furstemberg, cathédrale suave bâtie de marmelade de fruits d'églantier, de pulpe de fraises, de crème à la fraise, de fraises entières, de morceaux d'oranges confites et de petits soufflés remplis de crème à l'orange puis glacés en rose, ou bien au contraste sans pareil dans un plat en faïence noire d'une tranche Princesse aux larges raies jaunes et roses semées d'amandes grillées, et d'une tranche Helgoland ponctuée de violettes candies sur un fond vert clair de crème beurre de pistache ? Je consens qu'il y ait du sublime dans tout cela, mais valait-il la peine de se mettre pieds nus, comme elle fit, pour l'apparition sur un rond de papier à gaufrures d'or d'une couronne Goethe glace vert tendre par-dessus un bandeau de chocolat et sous des rosettes multiples de crème beurre, chacune contenant une demiedemi-cerise confite dans du sucre épais ?}}
{{Réf Livre|titre=Soleil des loups|auteur=André Pieyre de Mandiargues|éditeur=Gallimard|Collection=L'Imaginaire|année=1979|année d'origine=1951|page=99|section= L’Étudiante|ISBN=9-782070-283477}}