« Sophie Cottin » : différence entre les versions

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'''{{w|Sophie Cottin}}''', née le {{date|22|mars|1770}} à {{w|Tonneins}} et morte le {{date|25|août|1807}} à {{w|Paris}}, est une écrivaine et femme politique française.
 
== Citations''Claire d'Albe'', 1800 ==
{{Citation|Comment distinguer le fourbe de l’infortuné ? On commence par se fier à la physionomie ; mais bientôt revenu de cet indice trompeur, pour avoir été dupe des fausses larmes, on finit par ne plus croire aux vraies.}}
{{Réf Livre
|titre= Claire d’Albe
|auteur= Sophie Cottin
|éditeur= Ménard et Desène fils
|année= 1824
|page= 155-158
|tome= Œuvres complètes. 1
|chapitre= Lettre VIII
|s= Claire d’Albe/Lettre 08
}}
 
{{citation|Que de temps perdu pour le bonheur ! Le bonheur, cet être si fugitif que plusieurs le croient chimérique, n’existe que par la réunion de tous les sentimens auxquels le cœur est accessible, et par la présence de ceux qui en sont les objets ; un vide l’empêche de naître, l’absence d’un ami le détruit.}}
{{Réf Livre
|titre= Claire d’Albe
|auteur= Sophie Cottin
|éditeur= Ménard et Desène fils
|année= 1824
|page= 162-167
|tome= Œuvres complètes. 1
|chapitre= Lettre X
|s= Claire d’Albe/Lettre 10
}}
 
{{citation|il est des craintes que l’amitié doit rougir de concevoir}}
{{Réf Livre
|titre= Claire d’Albe
|auteur= Sophie Cottin
|éditeur= Ménard et Desène fils
|année= 1824
|page= 167-169
|tome= Œuvres complètes. 1
|chapitre= Lettre XI
|s= Claire d’Albe/Lettre 11
}}
 
{{citation|Je t’écris à genoux, mon papier est baigné de mes pleurs ! ô Claire ! un de tes baisers, un seul encore ! Il est des plaisirs trop vifs pour pouvoir les goûter deux fois sans mourir.}}
{{Réf Livre
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|s= Claire d’Albe/Lettre 35
}}
 
== ''Élisabeth'', 1808 ==
{{citation|Dans la première jeunesse, la jouissance du bonheur présent a quelque chose de si vif, de si complet, qu'elle fait oublier toute pensée d'avenir. On est alors trop occupé d'être heureux pour songer si on le sera toujours, et la félicité remplit si bien le cœur, que la crainte de la perdre n'y peut trouver place.}}
{{Réf Livre
|titre=Élisabeth ou les exilés de Sibérie
|auteur=Sophie Cottin
|page=45
|éditeur=S. Low, librairie
|année=1823}}
 
== ''Amélie Mansfield'', 1802 ==
{{citation|Ah ! les peines qui usent la vie sont presque toujours celles qui se cachent, et tel qui a résisté à leur violence, succombera à leur durée !}}
{{Réf Livre
|titre=Œuvres complètes
|auteur=Sophie Cottin
|page=104
|éditeur=Firmin Didot Frères, libraires-éditeurs
|année=1836}}
 
{{citation|Se donner à ce qu'on aime, ce n'est pas perdre son indépendance, c'est en user.}}
{{Réf Livre
|titre=Amélie Mansfield
|auteur=Sophie Cottin
|page=151
|éditeur=Chez Colburn libraire-éditeur
|année=1809
}}
 
{{Citation|Le temps efface bien des peines que l'on croyait éternelles.}}
{{Réf Livre
|titre=Oeuvres complètes
|auteur=Sophie Cottin
|page=88
|éditeur=Firmin Didot frères, libraires-éditeurs
|année=1836}}
 
{{citation|S'il est pardonnable de céder quelquefois à un penchant (de la coquetterie), l'habitude en est dangereuse, parce qu'en s'y abandonnant sans cesse il tourne en besoin, et qu'il est plus aisé de le vaincre que de le modérer.}}
{{Réf Livre
|titre=Pensées, maximes et réflexions morales de Madame Cottin
|auteur=Sophie Cottin
|page=54
|éditeur=Chez Treuttel et Würtz
|année=1820}}
 
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