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{{citation|citation=On a beau me dire que c'est en moi ce coupe-gorge, je participe à la vie, je représente la fatalité qui m'élit.}}
{{Réf Livre|titre=L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes|auteur=Antonin Artaud|éditeur=Gallimard|collection=Poésie/Gallimard|année=1956|partie=Fragments d'un Journal d'Enfer|page=125}}
 
== ''L'Art et la mort'', 1929 ==
''' ''Qui au sein'' '''
{{citation|citation=Quand nous reverrons-nous ? Quand le goût terreux de tes lèvres viendra-t-il à nouveau frôler l'anxiété de mon esprit ? La terre est comme un tourbillon de lèvres mortelles. La vie creuse devant nous le gouffre de toutes les caresses qui ont manqué. Qu'avons-nous à faire auprès de nous de cet ange qui n'a pas su se montrer ?}}
{{Réf Livre|titre=L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes|auteur=Antonin Artaud|éditeur=Gallimard|collection=Poésie/Gallimard|année=1956|partie=L'Art et la Mort|section=« ''Qui au sein...'' »|page=135}}
 
''' Héloïse et Abélard '''
{{citation|citation=Elle a des mains qui entourent les livres de leurs cartilages de miel. Elle a des seins en viande crue, si petite, dont la pression donne la folie ; elle a des seins en dédales de fil. Elle a une pensée toute à moi, une pensée insinuante et retorse qui se déroule comme d'un cocon. Elle a une âme.}}
{{Réf Livre|titre=L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes|auteur=Antonin Artaud|éditeur=Gallimard|collection=Poésie/Gallimard|année=1956|partie=L'Art et la Mort|section=« Héloïse et Abélard »|page=145}}
 
== ''Pour en finir avec le jugement de dieu'', 1947, édition 2003, Gallimard ''Poésie'' n° 385 ==
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</poem>}}
{{Réf Livre|titre=États préparatoires|auteur=Antonin Artaud|année=1947|année d'origine=1947|éditeur=Gallimard|Collection ''Poésie''|page=173}}
 
== ''L'Art et la mort'', 1929 ==
''' ''Qui au sein'' '''
{{citation|citation=Quand nous reverrons-nous ? Quand le goût terreux de tes lèvres viendra-t-il à nouveau frôler l'anxiété de mon esprit ? La terre est comme un tourbillon de lèvres mortelles. La vie creuse devant nous le gouffre de toutes les caresses qui ont manqué. Qu'avons-nous à faire auprès de nous de cet ange qui n'a pas su se montrer ?}}
{{Réf Livre|titre=L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes|auteur=Antonin Artaud|éditeur=Gallimard|collection=Poésie/Gallimard|année=1956|partie=L'Art et la Mort|section=« ''Qui au sein...'' »|page=135}}
 
''' Héloïse et Abélard '''
{{citation|citation=Elle a des mains qui entourent les livres de leurs cartilages de miel. Elle a des seins en viande crue, si petite, dont la pression donne la folie ; elle a des seins en dédales de fil. Elle a une pensée toute à moi, une pensée insinuante et retorse qui se déroule comme d'un cocon. Elle a une âme.}}
{{Réf Livre|titre=L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes|auteur=Antonin Artaud|éditeur=Gallimard|collection=Poésie/Gallimard|année=1956|partie=L'Art et la Mort|section=« Héloïse et Abélard »|page=145}}
 
{{autres projets|commons=Category:Antonin Artaud|s=Auteur:Antonin Artaud|w=Antonin Artaud}}