« Jules Supervielle » : différence entre les versions

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|chapitre=Révolte
|page=15}
 
{{autres projets|w=Jules Supervielle}}
 
{{citation|citation=<poem>
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Mais qui portent en eux le parfum des années.
[...]
Je vous aime, airs naïfs, dont l'âme douce rôde
Comme une fleur vieillotte errant au jeu des vents ;
Vous mêles à la cendre immense du vieux temps,
L'intime odeur du bois sur la braise encore chaude !
</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres poétiques complètes
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|page=28}}
 
 
{{citation|citation=<poem>
J'aurai flané ma vie, incertaine rivière,
Visitant bois, ravins, villes au gré du sort,
Et sans jamais pouvoir retourner en arrière,
Un jour, j'arriverai, surpris, au seuil de Mort.
 
Puissé-je alors, brillant d'une ultime lumière,
Riche de tous les ciels que j'aurai relétés,
Avoir le calme élan des larges estuaires
Dans la pompe des fins d'été !
</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres poétiques complètes
|auteur=Jules Supervielle
|éditeur=Gallimard
|collection=Pléiade
|année=1998
|page=51
|partie=Poèmes
|chapitre=Voyage en soi
|ISBN=2-07-040-311-4
 
 
 
 
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[[Catégorie:Dramaturge français]]