« Valery Larbaud » : différence entre les versions
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Wikisource et Commons. |
m Jaune, bleu, blanc. |
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|année=1983
|page=208}}
== ''Jaune, bleu, blanc'', 1927 ==
{{citation|citation= Les villes, les civitates du Centre et du Nord sont deditices : Paris, qu'elles forment, les absorbe, les anéantit; au contraire, les civitates du Midi, et en particulier celles d'Occitanie, sont alliées, et on conçoit pour elles une époque « post-française »; la formation des Etats-Unis d'Europe exigeant la disparition des anciennes nations, trop puissantes pour la securité commune, et l'établissement d’un système d’Etats confédérés, on imagine l'Occitanie retrouvant son autonomie, son nom, certaines coutumes. On songe [...] aux témoignages officiels de son existence indépendante sous la direction centrale d’un Conseil Amphictyonique européen : sur les monnaies, sur les timbres, des allusions aux grands souvenirs historiques du pays, a la renommée de la Faculté de Montpellier. Naturellement, la capitale serait Montpellier.}}
{{Réf Livre|titre=A. O. Barnabooth'', dans Œuvres complètes
|auteur=Valery Larbaud
|éditeur=Gallimard
|année=1927
|page=235}}
{{Choisie citation du jour
|puce=*
|année=2020
|mois=juin
|jour=22
|commentaire=Larbaud révèle dans ''Jaune, bleu, blanc'', un fervent occitanisme politique.
|}}
{{autres projets|w=Valery Larbaud|s=Auteur:Valery Larbaud|commons=Category:Valery Larbaud}}
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