« Benito Mussolini » : différence entre les versions

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==Citations==
{{citation|citation=JeMarx suisétait réactionnairele parceplus qu'antiparlementaire,grand antidémocratede ettous antisocialisteles théoriciens du socialisme.
|langue=it}}
{{Réf Livre|titre=L'ActionMussolini française: une biographie
|auteur=EugenDenis WeberMack Smith
|éditeur=HachettePalladin
|année=19901983
|collection=Pluriel
|page=1577}}
|année=1990
|page=157}}
 
{{citation|citation=Notre doctrine est le fait. Nous devons nous affirmer partout où nous allons.
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|page=135}}
 
{{citation|citation=Tout dans l'État, rien en dehors de l'État, rien contre l'État.}}
{{citation
{{Réf Pub|nom=Benito Mussolini
|citation=Notre système n'est ni le capitalisme d'État ni le collectivisme, mais une création intermédiaire. Je pense que l'ordre social prime l'ordre économique.
|date=9 décembre 1928
|original=
|lieu=Discours à la Chambre des Députés
|langue=fr
|source=Propagande et dictature
|précisions=
|auteur=Marx Fritz Forstein
}}
|année=2007
{{Réf Article
|page=5748}}
|titre=L'économie fasciste
|auteur=Benito Mussolini, citation tirée de ''Rome après Moscou'' (Plon, 1932) d'{{w|Émile Servan-Schreiber}}
|publication={{w|La Nouvelle Revue d'Histoire}}
|numéro=6
|date=mai-juin 2003
|page=57
|ISSN=1764-2019
|ISBN=
}}
 
{{citation|L'État fasciste est unique et une création originale. Il n'est pas réactionnaire, mais révolutionnaire dans le sens où il anticipe la solution des problèmes politiques universels qui partout ont été mis en place dans le champ politique par la rivalité des partis, le pouvoir excessif du régime parlementaire et l'irresponsabilité des assemblées politiques.
{{citation
|langue=frit}}
|citation=J'estime que l'État doit intervenir le moins possible. J'ai laissé conduire au cimetière bien des banques. J'ai préféré les laisser mourir que d'infliger au contribuable italien des charges de plus en plus lourdes pour sauver des imbéciles ou des voleurs.
{{Réf Livre|titre=La doctrine politique et sociale du fascisme
|original=
|auteur=Jane Soames
|langue=fr
|éditeur=Hogarth Press
|précisions=
|année=1933
}}
|page=5723}}
{{Réf Article
|titre=L'économie fasciste
|auteur=Benito Mussolini, citation tirée de ''Rome après Moscou'' (Plon, 1932) d'{{w|Émile Servan-Schreiber}}
|publication={{w|La Nouvelle Revue d'Histoire}}
|numéro=6
|date=mai-juin 2003
|page=57
|ISSN=1764-2019
|ISBN=
}}
 
{{citation
|citation=Les trois-quarts de l'économie italienne, industrielle et agricole, sont dans les mains de l'État. Et si j'ose introduire à l'Italie du capitalisme d'État ou du socialisme d'État, qui est le revers de la médaille, j'aurai les conditions subjectives et objectives nécessaires pour le faire.|langue=it}}
|citation=Je n'ai pas permis non plus que la faillite devienne en Italie une nouvelle industrie. Pour tous ceux dont les agissements apparaissent nettement frauduleux, même si le code ne permet pas toujours de les atteindre, je n'hésite pas à les envoyer au "confino".
{{Réf Pub|nom=Benito Mussolini
|original=
|date=26 mai-juin 20031934
|langue=fr
|lieu=Discours à la Chambre des Députés
|précisions=Le confino est une assignation à résidence dans les îles.
|source=Le manuel d'Oxford de l'économie italienne depuis l'unification
}}
|auteur=Gianni Toniolo
{{Réf Article
|éditeur=Université de presse d'Oxford
|titre=L'économie fasciste
|année=2013
|auteur=Benito Mussolini, citation tirée de ''Rome après Moscou'' (Plon, 1932) d'{{w|Émile Servan-Schreiber}}
|page=5759}}
|publication={{w|La Nouvelle Revue d'Histoire}}
|numéro=6
|date=mai-juin 2003
|page=57
|ISSN=1764-2019
|ISBN=
}}
 
{{citation