« Apollonios de Rhodes » : différence entre les versions

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|page =223-224
|section=II, 985-992
|traducteur = Francis Vian
|langue = grc}}
 
{{citation|Il est bien vrai que Zeus voit toutes choses ; nous, les hommes, nous n'échappons jamais à son regard, que nous soyons pieux ou injustes.
|original =
|langue = grc
|précisions =
}}
{{Réf Livre
|titre= Argonautiques, tome I, chants I-II
|auteur= Apollonios de Rhodes
|éditeur= Les Belles Lettres
|collection= Collection des universités de France
|année= 1974 (réédition consultée : 2002)
|page =233
|section=II, 1179-1180
|traducteur = Francis Vian
|langue = grc}}
 
 
{{citation|Quant à enlever la toison à l'insu d'Aiétès, ce n'est pas non plus tâche facile, tel est le dragon qui veille tout autour, ignorant la mort et le sommeil ; c'est la Terre elle-même qui l'enfanta dans les contreforts du mont Caucase, au pied de la roche Typhaonienne où l'on dit que Typhaon, frappé par la foudre du Cronide Zeus, alors qu'il avait porté sur lui ses fortes mains, laissa couler de sa tête des gouttes brûlantes de son sang ; en cet état, il vint dans les monts et dans la plaine de Nysa, où, maintenant encore, il gît, englouti sous les eux du lac Serbônis.
|original =
|langue = grc
|précisions = Argos décrit aux Argonautes le dragon gardien de la Toison d'or
}}
{{Réf Livre
|titre= Argonautiques, tome I, chants I-II
|auteur= Apollonios de Rhodes
|éditeur= Les Belles Lettres
|collection= Collection des universités de France
|année= 1974 (réédition consultée : 2002)
|page =234
|section=II, 1207-1215
|traducteur = Francis Vian
|langue = grc}}