« Les Maîtres sonneurs » : différence entre les versions
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{{citation|citation=J’oubliai les fumées d’amour, car rien ne rend si tranquille comme de suer sous la pioche, du lever au coucher du soleil ; et quand vient la nuit, ceux qui ont eu affaire à la terre grasse et lourde de chez nous, qui est la plus rude maîtresse qu’il y ait, ne s’amusent pas tant à penser qu’à dormir pour recommencer le lendemain.
|précisions=
{{réf Livre
|auteur=George Sand
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|année d'origine=1853
|page=80}}
{{citation|citation=On n'aime pas les fantômes ; mais quand on est sûr d'avoir affaire à du solide, c'est autre chose (...)
|précisions=}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Cinquième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=128}}
{{citation|citation=Vous êtes fâché que j'entre chez vous sans permission ? Pourquoi n'y étiez-vous point ? J'ai frappé à la porte, j'ai demandé du feu, ça ne se refuse jamais. Qui ne répond consent, j'ai poussé le loquet. Pourquoi n'avez-vous point de serrure, si vous craignez les voleurs ? J'ai regardé vers les lits, j'ai trouvé maison vide ; j'ai allumé ma pipe, et me voilà. Qu'est-ce que vous avez à dire ?
|précisions=Huriel, à Tiennet, lors de leur première rencontre.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Cinquième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=135}}
== Liens externes ==
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|s=Les Maîtres sonneurs}}
{{DEFAULTSORT:Maitres sonneurs}}
[[Catégorie:Roman]]
[[Catégorie:Œuvre française]]
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