« Les Maîtres sonneurs » : différence entre les versions

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|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=CinquièmeSixième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=135}}
 
{{citation|citation=Je trouve qu'entre hommes c'est lâche de s'envoyer des balles, la force ayant été donnée aux humains pour s'en servir.
|précisions=Tiennet à Huriel.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Sixième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=137}}
 
{{citation|citation= Le Berrichon, je le sais, est une pierre qui roule d’un sillon sur l’autre, revenant toujours sur celui de droite quand la charrue l’a poussé pour une saison sur celui de gauche. Il respire un air lourd, il aime ses aises, il n’a point de curiosité ; il chérit son argent, et ne le dépense point ; mais il ne sait pas l’augmenter, et n’a ni invention ni courage.
|précisions=Huriel à Tiennet.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Sixième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=140}}
 
{{citation|citation= Tu es un franc Berrichon, comme un moineau franc est un moineau franc, et ce que tu es à cette heure, tu le seras dans cinquante ans d’ici ; ton crin aura blanchi, mais ta cervelle n’aura pas pris un jour.
|précisions=Huriel à Tiennet.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Sixième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=142}}
 
{{citation|citation= Nous autres, gens des forêts, nous serions malades s’il fallait nous ensevelir vivants dans des draps et des couvertures.
|précisions=Huriel à Tiennet.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Sixième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=142}}
 
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