« Les Maîtres sonneurs » : différence entre les versions

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|année d'origine=1853
|page=305}}
 
{{citation|citation= Je crois que je n'ai point d'autre maladie qu'une idée toujours tendue aux mêmes fins, et toujours rentrée au moment qu'elle me vient sur les lèvres.
|précisions=Joseph, à Tiennet.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Dix-neuvième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=314}}
 
{{citation|citation= Qui prend enfant prend maître.
|précisions=Brulette, à Tiennet.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Vingtième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=320}}
 
{{citation|citation= À dire vrai, un petit enfant est un rude maître, injuste comme un mari qui serait fol, obstiné comme une bête affamée.
|précisions=Brulette, à Tiennet.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Vingtième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=331}}
 
{{citation|citation= Il n'y a donc que moi, mon pauvre chat-huant, qui sois accoutumée à ton bec et à tes griffes !
|précisions=Brulette, au bébé Charlot.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Vingtième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=332}}
 
{{citation|citation= Il lui ressemble non plus qu'une pomme de terre à une rose.
|précisions=Au sujet de l'absence de ressemblance entre Brulette et le bébé Charlot.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Vingtième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=334}}
 
{{citation|citation= J'aurais pu me tourner vers l'amour ou vers le ciel, il y a un an. Je me sentais, comme tu dis, changée en dedans ; mais me voilà attachée aux peines de ce monde, sans y trouver ni la douceur de l'amour, ni la force de la religion. Il me semble que je suis liée à un joug et que je pousse en avant, de ma tête, sans savoir quelle charrue je traîne derrière moi. Tu vois que je n'en suis pas plus triste et que je n'en veux pas mourir ; mais je confesse que j'ai regret à quelque chose dans ma vie, non point à ce qui a été, mais à ce qui aurait pu être.
|précisions=Brulette, à Tiennet, après avoir recueilli le bébé Charlot.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Vingt-et-unième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=338-339}}
 
{{citation|citation= Les hommes ont inventé la peine de mort, que Dieu réprouve, et ils vous tueront peut-être volontairement pour avoir tué par mégarde.
|précisions=Le carme Nicolas, à Huriel.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Vingt-deuxième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=348}}
 
{{citation|citation= Je n'aime point à perdre mes heures dans les additions.
|précisions=Huriel, à la tante de Tiennet qui le prévient que Brulette n'est pas fortunée.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Vingt-quatrième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=380}}
 
{{citation|citation= Le plus malins sont quelquefois ceux qu'on croit les plus sots, de même que les plus sots se trouvent être ceux qui se croient bien malins.
|précisions=La tante de Tiennet, à Tiennet.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Vingt-quatrième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=381}}
 
{{citation|citation= Qui ne risque rien n'a rien. Es-tu si Berrichon que tu ne veuilles tenter le sort ?
|précisions=Huriel, à Tiennet.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Vingt-quatrième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=382}}
 
{{citation|citation= Et puis je me lasse de couper des arbres. Sais-tu, Tiennet, que je les aime, ces beaux vieux compagnons de ma vie, qui m'ont raconté tant de choses dans les bruits de leurs feuillages et les craquements de leurs branches ! Et moi, plus malsain que le feu du ciel, je les en ai remerciés en les couchant à mes pieds, comme autant de cadavres mis en pièces ! Ne ris pas de moi, je n'ai jamais vu tomber un vieux chêne, ou seulement un jeune saule, sans trembler de pitié ou de crainte, comme un assassin des œuvres du bon Dieu. Il me tarde de me promener sous des ombrages qui ne me repousseront plus comme un ingrat, et qui me diront enfin des secrets dont je n'étais pas digne.
|précisions=Le grand bûcheux, à Tiennet.}}
{{réf Livre
|auteur=George Sand
|titre=Indiana
|éditeur=Gallimard
|collection=Folio classiques
|section=Vingt-cinquième veillée
|année=1979
|année d'origine=1853
|page=391}}
 
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