« Michel de Montaigne » : différence entre les versions

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Soujas (discussion | contributions)
m →‎Livre I : typos + 252, 256, 258, 268-269, 301 + ordre ch 25 (à revérifier + tard) + avertissement que je ne comprends pas ...?
Soujas (discussion | contributions)
→‎Livre I : typo + ordre
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|année d'origine=1580}}
 
{{citation|citation=Nous prenons en garde les opinions et le savoir d'autrui, et puis c'est tout. Il les faut faire nôtres. Nous semblons proprement celui, qui ayant besoin de feu, en irait querir chez son voisin., et y en ayant trouvé un beau et grand, s'arrêterait là à se chauffer, sans plus se souvenir d'en rapporter chez soi. Que nous sert-il d'avoir la panse pleine de viande, si elle ne se transforme en nous ? si elle ne nous augmente et fortifie ?
}}
{{Réf Livre|titre=Essais I
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|jour=27
}}
 
{{citation|Je ne dis les autres, sinon pour d'autant plus me dire.
|précisions=Explication annotée : « ''Je ne cite les autres que pour mieux exprimer ma pensée'' ».}}
{{réf Livre|référence=Essais/Firmin-Didot|chapitre=26|page=63|section=livre I|s=Les Essais}}
 
{{citation|À un enfant de maison, qui recherche les lettres, non pour le gain [...], ni tant pour les commodités externes que pour les siennes propres, et pour s'enrichir et parer au dedans, et si l'on veut faire de lui un habile plutôt qu'un homme savant, je voudrais qu'on fût soigneux de lui choisir un conducteur qui ait plutôt la tête bien faite que bien pleine.}}
{{réf Livre|référence=Essais/Firmin-Didot|chapitre=26|page=64|section=livre I|s=Les Essais}}
 
{{citation|Il se tire une merveilleuse clarté pour le jugement humain de la fréquentation du monde. Nous sommes tous contraints et amoncelés en nous, et avons la vue raccourcie à la longueur de notre nez.
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|s=Page:Essais-Livre 1-0051.jpg
}}
 
 
{{citation|Je ne dis les autres, sinon pour d'autant plus me dire.
|précisions=Explication annotée : « ''Je ne cite les autres que pour mieux exprimer ma pensée'' ».}}
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|section=livre I
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{{citation|À un enfant de maison, qui recherche les lettres, non pour le gain [...], ni tant pour les commodités externes que pour les siennes propres, et pour s'enrichir et parer au dedans, et si l'on veut faire de lui un habile plutôt qu'un homme savant, je voudrais qu'on fût soigneux de lui choisir un conducteur qui ait plutôt la tête bien faite que bien pleine.}}
{{réf Livre
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|section=livre I
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{{Citation|citation=Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant : « Parce que c'était lui, parce que c'était moi ».