« Robur-le-Conquérant » : différence entre les versions

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== Citations ==
{{citation|...''Os sublime dedit cœlumque tueri'',<br>
a dit Ovide pour le plus grand honneur de la créature humaine. En vérité, jamais on n’avait tant regardé le ciel depuis l’apparition de l’homme sur le globe terrestre.
|précisions=Citation d'[[Ovide]], ''Métamorphoses'', chant I, vers 8, décrivant la création de l'humanité par Prométhée : "il donna à l'homme un visage élevé et (lui ordonna) de regarder le ciel".}}
{{Réf Livre
|titre= Robur-le-Conquérant
|auteur= [[Jules Verne]]
|éditeur= Hetzel
|collection= Voyages extraordinaires
|année= 1886
|section=chapitre I
|page =3
|url=https://fr.wikisource.org/wiki/Robur_le_conqu%C3%A9rant/Texte_entier}}
 
{{citation|En huit jours, les Hambourgeois, à la pointe de la tour Saint-Michel, les Turcs, au plus haut minaret de Sainte-Sophie, les Rouennais, au bout de la flèche métallique de leur cathédrale, les Strasbourgeois, à l’extrémité du Munster, les Américains, sur la tête de leur statue de la Liberté, à l’entrée de l’Hudson, et, au faîte du monument de Washington, à Boston, les Chinois, au sommet du temple des Cinq-Cents-Génies, à Canton, les Indous, au seizième étage de la pyramide du temple de Tanjour, les San-Pietrini, à la croix de Saint-Pierre de Rome, les Anglais, à la croix de Saint-Paul de Londres, les Égyptiens, à l’angle aigu de la Grande Pyramide de Gizèh, les Parisiens, au paratonnerre de la Tour en fer de l’Exposition de 1889, haute de trois cents mètres, purent apercevoir un pavillon qui flottait sur chacun de ces points difficilement accessibles.<br>
Et ce pavillon, c’était une étamine noire, semée d’étoiles, avec un soleil d’or à son centre.