« Métamorphoses (Ovide) » : différence entre les versions

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|langue=la}}
 
{{citation|<poem>L'Etna crachant son soufre en sa fournaise ardente,
{{...}}
Ne brûla pas toujours et s'éteindra un jour.</poem>
|original =<poem></poem>
|langue=la
|précisions=}}
{{Réf Livre
|titre=Les Métamorphoses
|auteur=Ovide
|éditeur=Les Belles Lettres
|collection=Classiques en poche
|année=2009
|page=721
|section=XV
|vers=340-341
|traducteur=Olivier Sers
|langue=la}}
 
{{citation|<poem>Un seul, oiseau, s'engendre et renaît de lui-même.
Le phénix d'Assyrie ne vit de grains ni d'herbe,
Mais des pleurs de l'encens et du suc de l'amome.</poem>
|original =<poem></poem>
|langue=la
|précisions=}}
{{Réf Livre
|titre=Les Métamorphoses
|auteur=Ovide
|éditeur=Les Belles Lettres
|collection=Classiques en poche
|année=2009
|page=725
|section=XV
|vers=392-395
|traducteur=Olivier Sers
|langue=la}}
 
{{citation|<poem>N'usez que d'aliments obtenus sans violence !</poem>
|original =<poem></poem>
|langue=la
|précisions=}}
{{Réf Livre
|titre=Les Métamorphoses
|auteur=Ovide
|éditeur=Les Belles Lettres
|collection=Classiques en poche
|année=2009
|page=729
|section=XV
|vers=478
|traducteur=Olivier Sers
|langue=la}}
 
{{citation|<poem>Voilà. Mon œuvre est fait. Jupiter en courroux
Ni le fer ni le feu ni le temps n'y mordront.
Qu'au jour de mon trépas, maître de mon seul corps,
Il achève le cours incertain de ma vie,
Moi, ma meilleure part survolera les astres,
Immortelle, et mon nom, rien ne l'effacera.
Sur le monde dompté où partout Rome règne
On me lira de siècle en siècle, et s'il est vrai
Qu'un poète peut voir l'avenir, je vivrai.</poem>
|original =<poem></poem>
|langue=la
|précisions=Derniers vers des ''Métamorphoses''.}}
{{Réf Livre
|titre=Les Métamorphoses
|auteur=Ovide
|éditeur=Les Belles Lettres
|collection=Classiques en poche
|année=2009
|page=754-755
|section=XV
|vers=871-879
|traducteur=Olivier Sers
|langue=la}}
 
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