« Iliade » : différence entre les versions

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|page=19
|section=chant I, vers 218
|s=L'Iliade
}}
 
{{citation|Je suis venue du ciel pour calmer ta fureur : me veux-tu obéir ?
|original=
|langue=grc
|précisions=Athéna, à Achille qui s'apprêtait à tirer l'épée contre Agamemnon.}}
{{Réf Livre
|auteur=Homère
|éditeur=Les Belles Lettres
|collection=Classiques en poche
|titre=L'Iliade
|année=1937-38 (traduction), 1998 (édition)
|traducteur=Paul Mazon
|page=19
|section=chant I, vers 217-218
|s=L'Iliade
}}
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|page=45
|section=chant I, vers 599-600
|s=L'Iliade
}}
 
=== Chant II ===
{{citation|Comme on voit les abeilles, par troupes compactes, sortir d'un antre creux, à flots toujours nouveaux, pour former une grappe, qui bientôt voltige au-dessus des fleurs du printemps, tandis que beaucoup d'autres s'en vont voletant, les unes par-ci, les autres par-là ; ainsi, des nefs et des baraques, des troupes sans nombre viennent se ranger, par groupes serrés, en avant du rivage bas, pour prendre part à l'assemblée.
|original=
|langue=grc
|précisions=L}}
{{Réf Livre
|auteur=Homère
|éditeur=Les Belles Lettres
|collection=Classiques en poche
|titre=L'Iliade
|année=1937-38 (traduction), 1998 (édition)
|traducteur=Paul Mazon
|page=
|section=chant II, vers 87-93
|s=L'Iliade
}}
 
=== Chant III ===
{{citation|L'esprit des jeunes hommes toujours flotte à tout vent. Quand un vieillard est avec eux, il voit, en rapprochant l'avenir du passé, comment il est possible d'arranger tout au mieux, à la fois pour les deux parties.
|original=<poem>Αἰεὶ δ' ὁπλοτέρων ἀνδρῶν φρένες ἠερέθονται·
οἷς δ' ὁ γέρων μετέῃσιν ἅμα πρόσσω καὶ ὀπίσσω
λεύσσει, ὅπως ὄχ' ἄριστα μετ' ἀμφοτέροισι γένηται. </poem>
|langue=grc
|précisions=Ménélas}}
{{Réf Livre
|auteur=Homère
|éditeur=Les Belles Lettres
|collection=Classiques en poche
|titre=L'Iliade
|année=1937-38 (traduction), 1998 (édition)
|traducteur=Paul Mazon
|page=121
|section=chant III, vers 108-110
|s=L'Iliade
}}
 
{{citation|Non, il n'y a pas lieu de blâmer les Troyens, ni les Achéens aux bonnes jambières, si, pour telle femme, ils souffrent si longs maux. Elle a terriblement l'air, quand on l'a devant soi, des déesses immortelles...
|original=<poem>Οὐ νέμεσις Τρῶας καὶ ἐϋκνήμιδας Ἀχαιοὺς
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|traducteur=Paul Mazon
|page=125
|section=chant IIII, vers 156-158
|s=L'Iliade
}}
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