« Marie NDiaye » : différence entre les versions

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==Citations==
=== ''Trois femmes puissantes'', 2009 ===
{{citation|Et celui qui l'accueillit ou qui parut comme fortuitement sur le seuil de sa grande maison de béton, dans une intensité de lumière soudain si forte que son corps vêtu de clair paraissait la produire et la répandre lui-même, cet homme qui se tenait là, petit, alourdi, diffusant un éclat blanc comme une ampoule au néon, cet homme surgi au seuil de sa maison démesurée n'avait plus rien, se dit aussitôt Norah, de sa superbe, de sa stature, de sa jeunesse auparavant si mystérieusement constante qu'elle semblait impérissable.
|précisions=Première phrase du livre.}}
{{Réf Livre
|titre= Trois femmes puissantes
|auteur= Marie NDiaye
|éditeur= Gallimard
|collection= Folio
|année= 2009
|section=I
|page =11}}
 
{{citation|Mais elle avait ignoré que le mal pouvait avoir un regard gentil, qu'il pouvait être accompagné d'une fillete exquise et prodiguer de l'amour - oh, c'est que l'amour de Jakob, impersonnel, inépuisable et vague, ne lui coûtait rien, elle le savait maintenant.
|précisions=}}
{{Réf Livre
|titre= Trois femmes puissantes
|auteur= Marie NDiaye
|éditeur= Gallimard
|collection= Folio
|année= 2009
|section=I
|page =33}}
 
{{citation|Qui ayant connu une fois la tendresse peut de soi-même y renoncer ?
|précisions=}}
{{Réf Livre
|titre= Trois femmes puissantes
|auteur= Marie NDiaye
|éditeur= Gallimard
|collection= Folio
|année= 2009
|section=I
|page =35}}
 
=== Propos publics ===
 
{{citation|citation=<poem>
{{personnage|Les Inrocks}} : Vous sentez-vous bien dans la France de Sarkozy ?