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|chapitre= Le cœur d’un homme vierge est un vase profond
|s= Le Voleur (Darien)/02
}}
 
{{Citation|Les deux rives s’écartent ; la nappe d’eau s’élargit en un vaste bassin ; et, là, trois îles se présentent de front au courant. La première, à gauche, très longue, descend à près d’une demi-lieue ; la seconde ménage un bras de trois cents mètres au plus ; et, quant à la troisième, elle n’est qu’une butte de gazon, couverte de grands arbres. Derrière, d’autres touffes de verdure, d’autres petites îles, s’en vont à la débandade, coupées par des bras étroits de rivière. Sur la gauche du fleuve, des plaines cultivées s’étendent ; sur la droite, se dresse un coteau, planté au sommet d’un bois chevelu.}}
{{Réf Livre
|titre= AUX CHAMPS
|auteur= Émile Zola
|éditeur= G. Charpentier
|année= 1883
|page= 218-230
|chapitre= AUX CHAMPS
|s= Le Capitaine Burle (Recueil)/La Rivière
}}