« Henry David Thoreau » : différence entre les versions

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|année = 2010
|page = 126
|chapitre =
|ISBN = 978-2360540129
|traducteur = Brice Matthieussent
|collection = Attitudes
}}
 
{{Citation|Lève-toi avant l'aube, affranchi de tout souci, et pars à l'aventure. Que le midi te trouve près d'autres lacs, et que partout la nuit te trouve chez toi. Il n'existe pas de champ plus vaste que ceux-ci, nul jeu qui mérite davantage qu'on y joue. Laisse les coudées franches à la sauvagerie de ta nature, comme ces laîches et ces fougères, qui ne deviendront jamais du foin anglais. [...] Que ton métier ne consiste pas à gagner ta vie, mais à te distraire. Jouis de la terre, ne la possède pas. Par manque d'esprit d'entreprise et de foi, les hommes sont là où ils en sont, ils achètent et ils vendent, ils passent leur vie comme des serfs.}}
{{Réf Livre
|titre = Walden
|auteur = Henry David Thoreau
|éditeur = Le mot et le reste
|année = 2010
|page = 211
|chapitre =
|ISBN = 978-2360540129
|traducteur = Brice Matthieussent
|collection = Attitudes
}}
 
{{Citation|Certains de mes amis parlaient comme si j'étais uniquement allé vivre dans les bois pour me geler. L'animal fait simplement un lit, qu'il réchauffe de son propre corps en un lieu abrité ; mais l'homme, ayant découvert le feu, confine de l'air dans une pièce spacieuse et la chauffe au lieu de puiser dans ses propres réserves, il en fait son lit dans lequel il peut se déplacer, sans s'encombrer de vêtements gênants, maintenir une espèce d'été au cœur de l'hiver, et à l'aide de fenêtres laisser même entrer la lumière, et avec une lampe allonger la durée du jour.}}
{{Réf Livre
|titre = Walden
|auteur = Henry David Thoreau
|éditeur = Le mot et le reste
|année = 2010
|page = 255-256
|chapitre =
|ISBN = 978-2360540129