« Frédérick Lavoie » : différence entre les versions
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→Allers simples (2012) : fin |
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{{Citation|Mais lorsqu'on perd le monopole de l'arbitraire et qu'on est recalé dans le camp des lésés, l'injustice redevient soudainement inacceptable à nos yeux.}}
{{Réf Livre|titre=Allers simples : Aventures journalistiques en Post-Soviétie|année=2012|auteur=Frédérick Lavoie|éditeur=Éditions La Peuplade|ISBN=978-2-89406-384-2|page=263}}
{{Citation|Comme le veut l'adage, c'est devant l'adversité que ressortent le meilleur et le pire de l'homme. La Russie est une tragédie millénaire qui s'entretient elle-même par son orgueil mal placé, son intransigeance et les passions qui en découlent. « Un pays poétique, poétique comme la douleur! » écrivait déjà en 1839 le marquis français Astolphe de Custine dans son récit ''La Russie en 1839', fruit de son voyage dans l'empire tsariste. C'est pourquoi l'héroïsme comme la mesquinerie y sont inévitablement poussés à l'extrême.}}
{{Réf Livre|titre=Allers simples : Aventures journalistiques en Post-Soviétie|année=2012|auteur=Frédérick Lavoie|éditeur=Éditions La Peuplade|ISBN=978-2-89406-384-2|page=310-311}}
{{Citation|Nous avons dépassé les limites de la décence tchétchène. Et c'est une femme qui est venue nous le rappeler. Pas étonnant. Il n'y a pas meilleur gardien de la morale que celui qui partage vos envies mais qui doit vivre avec les mêmes restrictions que vous. Pour s'assurer que vous n'ayez pas droit à plus de libertés que lui, il se chargera de vous rappeler à l'ordre à la première audace.}}
{{Réf Livre|titre=Allers simples : Aventures journalistiques en Post-Soviétie|année=2012|auteur=Frédérick Lavoie|éditeur=Éditions La Peuplade|ISBN=978-2-89406-384-2|page=382}}
{{Autres projets|w=Frédérick Lavoie}}
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