« Gustav Mahler » : différence entre les versions
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{{citation|Les gens croient toujours que la Nature se tient à la surface ! C'est vrai, en ce qui concerne ses aspects extérieurs. Mais ceux qui, devant la Nature, ne sont pas impressionnés par son mystère infini, par sa divinité (que nous pouvons seulement pressentir, mais non comprendre et pénétrer), ceux-là ne peuvent l'approcher. [...] Une trace de cet infini, qui est dans la Nature, doit se retrouver dans chaque oeuvre d'art, comme un reflet.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution
|titre=Souvenirs de Gustav Mahler
|auteur=Natalie Bauer-Lechner
|traducteur=Isabelle Werck
|éditeur=L'Harmattan
|année=1998
|page=211}}
{{citation|La musique laisse la poésie loin derrière elle ; elle peut ''tout'' dire. Dans une modulation, dans une cadence évitée, elle exprime clairement, tout ce que les autres arts doivent décrire et essayer de cerner. Nos poètes impressionnistes modernes voudraient bien exprimer ces atmosphères et ces sensations, ce qu'ils n'arriveront jamais à faire avec des mots.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution
|titre=Souvenirs de Gustav Mahler
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