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== XIV{{e}}- XIX{{e}} siècle ==
=== [[Alphonse de Liguori]]===
{{citation|Pour ce qui est de la religion Mahométane, tout le monde sait qu’elle n’est autre chose qu’un mélange grotesque de judaïsme et d’hérésies, dont le propagateur fut un homme vil, impudique, et voleur, je veux dire Mahomet, qui, avec le concours d’une infâme canaille de sa trempe, séduisit les peuples pour leur faire embrasser une foi et une loi mieux faites pour les bêtes que pour les hommes. Mahomet faisait sonner bien haut que sa religion lui avait été révélée de Dieu, comme il l’écrit lui-même dans son Alcoran; mais il suffit de lire cet Alcoran pour reconnaître que tout ce qu’il renferme, est un tissu de fables, d’inepties, et d’impiétés.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres complètes de S. Alphonse De Liguori
|auteur=Alphonse de Liguori
|traducteur=Léopold Dujardin et Jules Jacques
|éditeur=H. Casterman
|année=1867
|page=[https://books.google.be/books?id=T0kvSp761gwC&pg=PA342#v=onepage&q&f=false 342]
|année d'origine=1770
|tome=II
|auteur de la contribution=Alphonse de Liguori
|traducteur de la contribution=Jules Jacques
|titre de la contribution=Vérité de la foi
|section de la contribution=partie III. Contre les sectaires, qui nient que l'Église catholique soit la seule véritable, ch. XI. Conclusion de l'ouvrage
}}
 
=== [[Napoléon Bonaparte]]===
 
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|auteur=Général Gourgaud
}}
 
=== [[Georg Wilhelm Friedrich Hegel]] ===
{{citation|Mais l’islam n’est pas cette immersion contemplative des indiens ou des moines dans l’absolu, la subjectivité est ici au contraire vivante et infinie, une activité qui, en sortant dans le monde profane nie celui-ci et ne devient effective et médiatrice que dans l’affirmation qu’il faut exclusivement vénérer l’Unique. L’objet de l’islam est purement intellectuel, il ne tolère ni image ni représentation d’Allah: Mohammed est prophète, mais un être humain et en tant que tel n’est pas exempt des faiblesses humaines. Les principes de l’islam contiennent ceci, que dans la réalité rien ne peut devenir fixe, mais que tout part dans l’espace infini de l’univers de manière active et vivante, et c’est ainsi que la vénération de l’Unique reste le seul lien qui doit donner cohérence au tout. Dans cet espace, dans cette puissance disparaissent toutes les bornes, toute différence nationale et de caste; aucune tribu, aucun droit politique de la naissance ou de la propriété n’ont une valeur sauf l’homme en tant que croyant. Vénérer l’Unique, croire en lui, jeûner, se défaire de la sensation corporelle de sa particularité, donner des aumônes, c’est-à-dire se sevrer de la propriété particulière: voilà les commandements simples: le plus grand mérite pourtant est de mourir pour la foi, et celui qui meurt pour elle en bataille, est sûr d’entrer au paradis.}}
{{Réf Livre|titre=Leçons sur la philosophie de l'histoire (Vorlesungen über die Philosophie der History)
|auteur=Georg Wilhelm Friedrich Hegel
|année=1969-1971
|éditeur=E. Moldenhauer and K. M. Michel
|tome= 12
|page=428-9}}
 
=== [[Winston Churchill]] ===
Ligne 261 ⟶ 236 :
|auteur=G.-H. Bousquet
}}
 
=== [[Georg Wilhelm Friedrich Hegel]] ===
{{citation|Mais l’islam n’est pas cette immersion contemplative des indiens ou des moines dans l’absolu, la subjectivité est ici au contraire vivante et infinie, une activité qui, en sortant dans le monde profane nie celui-ci et ne devient effective et médiatrice que dans l’affirmation qu’il faut exclusivement vénérer l’Unique. L’objet de l’islam est purement intellectuel, il ne tolère ni image ni représentation d’Allah: Mohammed est prophète, mais un être humain et en tant que tel n’est pas exempt des faiblesses humaines. Les principes de l’islam contiennent ceci, que dans la réalité rien ne peut devenir fixe, mais que tout part dans l’espace infini de l’univers de manière active et vivante, et c’est ainsi que la vénération de l’Unique reste le seul lien qui doit donner cohérence au tout. Dans cet espace, dans cette puissance disparaissent toutes les bornes, toute différence nationale et de caste; aucune tribu, aucun droit politique de la naissance ou de la propriété n’ont une valeur sauf l’homme en tant que croyant. Vénérer l’Unique, croire en lui, jeûner, se défaire de la sensation corporelle de sa particularité, donner des aumônes, c’est-à-dire se sevrer de la propriété particulière: voilà les commandements simples: le plus grand mérite pourtant est de mourir pour la foi, et celui qui meurt pour elle en bataille, est sûr d’entrer au paradis.}}
{{Réf Livre|titre=Leçons sur la philosophie de l'histoire (Vorlesungen über die Philosophie der History)
|auteur=Georg Wilhelm Friedrich Hegel
|année=1969-1971
|éditeur=E. Moldenhauer and K. M. Michel
|tome= 12
|page=428-9}}
 
=== [[Bernard Lazare]]===
Ligne 281 ⟶ 265 :
|section=Livre quatrième, chapitre cinquième, Religion et morale
|page=328}}
 
=== [[Alphonse de Liguori]]===
{{citation|Pour ce qui est de la religion Mahométane, tout le monde sait qu’elle n’est autre chose qu’un mélange grotesque de judaïsme et d’hérésies, dont le propagateur fut un homme vil, impudique, et voleur, je veux dire Mahomet, qui, avec le concours d’une infâme canaille de sa trempe, séduisit les peuples pour leur faire embrasser une foi et une loi mieux faites pour les bêtes que pour les hommes. Mahomet faisait sonner bien haut que sa religion lui avait été révélée de Dieu, comme il l’écrit lui-même dans son Alcoran; mais il suffit de lire cet Alcoran pour reconnaître que tout ce qu’il renferme, est un tissu de fables, d’inepties, et d’impiétés.}}
{{Réf Livre|titre=Œuvres complètes de S. Alphonse De Liguori
|auteur=Alphonse de Liguori
|traducteur=Léopold Dujardin et Jules Jacques
|éditeur=H. Casterman
|année=1867
|page=[https://books.google.be/books?id=T0kvSp761gwC&pg=PA342#v=onepage&q&f=false 342]
|année d'origine=1770
|tome=II
|auteur de la contribution=Alphonse de Liguori
|traducteur de la contribution=Jules Jacques
|titre de la contribution=Vérité de la foi
|section de la contribution=partie III. Contre les sectaires, qui nient que l'Église catholique soit la seule véritable, ch. XI. Conclusion de l'ouvrage
}}
 
=== [[Montesquieu]]===
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|lieu=Turquie
|source=[http://www.monde-diplomatique.fr/2014/04/LEOTARD/50337 Une extrême droite qui n’exècre pas l’islam], Le Monde diplomatique
}}
 
=== [[Ibn Warraq]]===
{{citation|"Attention aux amalgames !" entend-on ressasser sur tous les tons dans les milieux bien pensants de toute origine et de toute confession... A écouter ces belles âmes, l'islamisme ne serait qu'une dérive qui n'aurait "rien à voir", mais alors, on vous l'assure, rien de rien, avec "le véritable islam", lequel serait, en son tréfonds, une idylique religion de paix, de fraternité et de tolérance... Pourtant, n'est-il pas curieux que ce ne soit qu'à propos de cette religion que l'on juge bon d'ajouter l'adjectif "modéré" pour tenter d'accréditer l'idée qu'à côté "d'une petite minorité" de quelques excités fanatiques, "assurément non représentatifs", "l'immense majorité" du milliard de musulmans dans le monde "d'ailleurs divisés en rites divers et variés", serait composé de "paisibles citoyens" qui penseraient "leur spiritualité" et pratiqueraient "leur foi" avec la même sérénité que "tous les autres croyants" ? La vérité, braves gens, est quelque peu différente : s'il existe, bel et bien, et Allah merci ! des "musulmans modérés", nos frères en humanité, l'islam en tant que tel n'est pas une religion modérée : il suffit de lire le Coran, truffé de menaces et d'imprécations en tout genre, pour s'en convaincre!
}}
 
{{Réf Pub
|nom=[[:w:Ibn Warraq|Ibn Warraq]]
|date=1er octobre 2001
|source=Le Figaro
|parution=''Le vrai visage de l'islam'', aux éditions Kyrollos, 2004, p.171
|auteur=M.Alcader
}}
 
Ligne 1 013 ⟶ 1 001 :
|année=2015
|page=312
}}
 
=== [[Ibn Warraq]]===
{{citation|"Attention aux amalgames !" entend-on ressasser sur tous les tons dans les milieux bien pensants de toute origine et de toute confession... A écouter ces belles âmes, l'islamisme ne serait qu'une dérive qui n'aurait "rien à voir", mais alors, on vous l'assure, rien de rien, avec "le véritable islam", lequel serait, en son tréfonds, une idylique religion de paix, de fraternité et de tolérance... Pourtant, n'est-il pas curieux que ce ne soit qu'à propos de cette religion que l'on juge bon d'ajouter l'adjectif "modéré" pour tenter d'accréditer l'idée qu'à côté "d'une petite minorité" de quelques excités fanatiques, "assurément non représentatifs", "l'immense majorité" du milliard de musulmans dans le monde "d'ailleurs divisés en rites divers et variés", serait composé de "paisibles citoyens" qui penseraient "leur spiritualité" et pratiqueraient "leur foi" avec la même sérénité que "tous les autres croyants" ? La vérité, braves gens, est quelque peu différente : s'il existe, bel et bien, et Allah merci ! des "musulmans modérés", nos frères en humanité, l'islam en tant que tel n'est pas une religion modérée : il suffit de lire le Coran, truffé de menaces et d'imprécations en tout genre, pour s'en convaincre!
}}
 
{{Réf Pub
|nom=[[:w:Ibn Warraq|Ibn Warraq]]
|date=1er octobre 2001
|source=Le Figaro
|parution=''Le vrai visage de l'islam'', aux éditions Kyrollos, 2004, p.171
|auteur=M.Alcader
}}
 
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