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== Citations ==
=== Nicolas Boileau ===
{{citation|citation=Peu de nations, peu de provinces peuvent dater leur entrée dans l'Histoire. C'est un privilège pour la Normandie normande, de faire commencer son aventure en 911, très précisément.▼
{{citation
{{citation|citation=Soutenons bien nos droits. Sot; sot est celui qui donne.<br />▼
C'est ainsi devers [[Caen]] que tout Normand raisonne.▼
}}
{{Réf Livre|titre=Histoire de la Normandie
|publicationtitre= Œuvres poétiques de Boileau Despréaux▼
|auteur=[[Jean Mabire]]▼
|auteur= Nicolas Boileau
|éditeur={{w|Hachette}}▼
|éditeur= Imprimerie générale
|année=1975▼
|année= 1872
|page=11▼
|page= 12
|chapitre=
|volume= {{II}}
|section=
|auteur de la contribution= [[Nicolas Boileau]]
|titre de la contribution= Epîtres
|section de la contribution= Épître {{II}}. À {{M.|l'abbé des Roches}}. Contre les procès
|année de la contribution= 1669
|s= https://fr.wikisource.org/wiki/Épîtres_(Boileau)/02
}}
 
=== Jean de La Varende ===
▲{{citation|citation=Soutenons bien nos droits. Sot est celui qui donne.<br />
{{citation
▲C'est ainsi devers Caen que tout Normand raisonne.
{{|citation |= Nous aurons les derniers poètes par un phénomène curieux ; le Normand est tellement assuré de sa force raisonnable qu'il semble pouvoir se permettre toutes les plus folles imaginations sans crainte, il retrouvera le sens quand il faudra ; il est d'une inépuisable richesse d'intelligence, il peut donc laisser, à sa sensibilité, la bride sur le cou. [Lettre de 1931]}}▼
|original=
|précisions= Extrait d'une lettre de [[Jean de La Varende]] datée de 1931.
|langue=français▼
|précisions=
}}
{{Réf ArticleLivre
|titre= La Varende, l'ami. Présentation d'extraits de lettres 1931-1959
|titre=Épîtres II
|auteur=[[Nicolas Boileau]]Hermann Quéru
|page= 158▼
▲|publication=Œuvres poétiques de Boileau Despréaux
|année= 1966▼
|numéro=▼
|éditeur=Éditions Notre-Dame}}▼
|date=1669
▲|page=109
|ISSN=
|ISBN=9781140805519
}}
 
=== Fernand Lechanteur ===
▲{{citation | Nous aurons les derniers poètes par un phénomène curieux ; le Normand est tellement assuré de sa force raisonnable qu'il semble pouvoir se permettre toutes les plus folles imaginations sans crainte, il retrouvera le sens quand il faudra ; il est d'une inépuisable richesse d'intelligence, il peut donc laisser, à sa sensibilité, la bride sur le cou. [Lettre de 1931]}}
{{citation
{{Réf Livre|titre=[[Jean de La Varende|La Varende]], l'ami - présentation de passages de lettres [de [[Jean de La Varende|La Varende]]]
{{citation|citation= Ainsi histoire, linguistique, ethnographie, psychologie sont d'accord pour nous montrer clairement la dualité de population de la Normandie. ilIl nous faut demander maintenant quelle est la part de chacun de ces groupes ethniques dans la vie du pays. La réponse est extrêmement simple. La zone nordique est de beaucoup la plus étendue, elle renferme la plus grande partie de la population, certainement plus des quatre cinquièmes. C'est là que sont situées les villes les plus actives, c'est là que sont nés presque tous les hommes, les notables et ''tous'' les plus grands. C'est à cette partie que se rattache le sentiment de tous les Normands, même ceux du Sud. Pour me servir d'une expression maritime, je dirais que le « courant porte nord » en Normandie.▼
|auteur=Hermann Quéru
*{{citation|citationoriginal=''<small> Således stemmer historie, lingvistikk, etnografi, psykologi overenseoverens, og viser spaltningen i befolkningen i Normandie. Så må man spørre seg hvilken rolle hver av disse folkegruppene spiller i landsdelens historie. Svaret er ytterst enkelt. Den nordiske sonen er absolutt den mest utstrakte, den har det størse del av befolkningen, sikkert over fire femtedeler. Det er i denne delen av Normandie de mest aktive byene ligger, her er de født alle virkelig store menn fra Normandie. Alle Normanneresnormanneres følelser gjelder denne delen av Normandie. Med enet sjømannsuttrykk kunne jeg si at « strømmen går nordover ».</small>''▼
▲|page=158
▲|langue=français no
▲|année=1966
|précisions= Extrait de l'article intitulé « {{lang|no|Det skandinaviske Normandie}} », paru initialement en 1948 dans la revue norvégienne ''{{w|lang=en|Samtiden}}'' et traduit en 1977 dans la revue normande ''{{w|Éditions Heimdal#La revue Heimdal|Heímdal}}''.
▲|éditeur=Éditions Notre-Dame}}
 
▲{{citation|citation=Ainsi histoire, linguistique, ethnographie, psychologie sont d'accord pour nous montrer clairement la dualité de population de la Normandie. il nous faut demander maintenant quelle est la part de chacun de ces groupes ethniques dans la vie du pays. La réponse est extrêmement simple. La zone nordique est de beaucoup la plus étendue, elle renferme la plus grande partie de la population, certainement plus des quatre cinquièmes. C'est là que sont situées les villes les plus actives, c'est là que sont nés presque tous les hommes, les notables et ''tous'' les plus grands. C'est à cette partie que se rattache le sentiment de tous les Normands, même ceux du Sud. Pour me servir d'une expression maritime, je dirais que le « courant porte nord » en Normandie.
}}
{{Réf Article
▲*{{citation|citation=''<small>Således stemmer historie, lingvistikk, etnografi, psykologi overense, og viser spaltningen i befolkningen i Normandie. Så må man spørre seg hvilken rolle hver av disse folkegruppene spiller i landsdelens historie. Svaret er ytterst enkelt. Den nordiske sonen er absolutt den mest utstrakte, den har det størse del av befolkningen, sikkert over fire femtedeler. Det er i denne delen av Normandie de mest aktive byene ligger, her er de født alle virkelig store menn fra Normandie. Alle Normanneres følelser gjelder denne delen av Normandie. Med en sjømannsuttrykk kunne jeg si at « strømmen går nordover ».</small>''
|titre= La Normandie scandinave
|auteur= [[Fernand Lechanteur|Fernand LECHANTEUR]]▼
|publication= Heímdal
▲|numéro= 23
|date= printemps-été 1977
|page= 11-13
|url= http://bibliotheque.idbe-bzh.org/data/cle_247/heimdal_1977_n23.pdf
}}
 
{{Réf Livre|titre=Det skandinaviske Normandie
=== Jean Mabire ===
▲|auteur=[[Fernand Lechanteur|Fernand LECHANTEUR]]
{{citation
|éditeur=Samtiden (quotidien norvégien)
▲{{citation|citation=Peu de nations, peu de provinces peuvent dater leur entrée dans l'Histoire. C'est un privilège pour la Normandie normande, de faire commencer son aventure en 911, très précisément.
▲|année=1948
}}
▲|page=4
{{Réf Livre
|chapitre=
|titre= Histoire de la Normandie
|section=
▲|auteur= [[Jean Mabire]]
▲|éditeur={{w| Hachette}}
▲|année= 1975
▲|page= 11
}}
 
=== Fred Vargas ===
{{citation|<poem> - On dit que les Normands n'aiment pas beaucoup parler, hasarda Adamsberg qui se mit à marcher dans le sillage de la femme, qui exhalait une légère odeur de feu de bois.▼
{{citation
- Ce n'est pas qu'ils n'aiment pas parler, c'est qu'ils n'aiment pas répondre. Ce n'est pas la même chose.</poem>}}▼
▲{{|citation|= <poem> -— On dit que les Normands n'aiment pas beaucoup parler, hasarda Adamsberg qui se mit à marcher dans le sillage de la femme, qui exhalait une légère odeur de feu de bois.
▲ -— Ce n'est pas qu'ils n'aiment pas parler, c'est qu'ils n'aiment pas répondre. Ce n'est pas la même chose.</poem>}}
}}
{{Réf Livre
|titre= L'arméeArmée Furieusefurieuse
|auteur= [[Fred Vargas]]
|éditeur= Viviane Hamy
|année= 2011
|page= 71-72
}}
 
{{autres projets|s=Épitre II (Boileau)}}
|commons= Category:Normandy
 
{{autres projets|commons=Normandie|w= Normandie}}
}}
 
[[Catégorie:Normandie| ]]
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