« Marguerite Yourcenar » : différence entre les versions

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|année de la contribution=1935
|page=1083
}}
 
{{citation|Il n’y a pas d’amour malheureux : on ne possède que ce qu’on ne possède pas. Il n’y a pas d’amour heureux : ce qu’on possède, on ne le possède plus.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1991
|année d'origine=1982
|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
|page=1090
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{{citation|Rien à craindre. J’ai touché le fond. Je ne puis tomber plus bas que ton cœur.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1991
|année d'origine=1982
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|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
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|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
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|page=1097
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{{citation|Rien de plus sale que l'amour-propre.}}
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|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=19821991
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|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
|page=11061105
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{{citation|Je me refuse à faire de toi un objet, même quand ce serait l'Objet Aimé.}}
 
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=L'ImaginaireBibliothèque de la Pléiade
|titre=FeuxŒuvres romanesques
|année=19741991
|année d'origine=1982
|ISBN=978-2-07-078457-8
|ISBN=2-07-011018-4
|page=51
|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
|page=1105
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{{citation|Aimer les yeux fermés, c’est aimer comme un aveugle. Aimer les yeux ouverts, c’est peut-être aimer comme un fou : c’est éperdument accepter. Je t’aime comme un folle.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1991
|année d'origine=1982
|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
|page=1111
}}
 
{{citation|On arrive vierge à tous les événements de sa vie. J’ai peur de ne pas savoir m’y prendre avec ma Douleur.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1991
|année d'origine=1982
|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
|page=1111
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{{citation|Brûlé de plus de feux… Bête fatiguée, un fouet de flammes me cingle les reins. J’ai retrouvé le vrai sens des métaphores de poètes. Je me réveille chaque nuit dans l’incendie de mon propre sang.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1991
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|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
|page=1120
}}
 
{{citation|Je ne tomberais pas. J’ai atteint le centre. J’écoute le battement d’on ne sait quelle divine horloge à travers la mince cloison charnelle de la vie pleine de sang, de tressaillements et de souffles. Je suis près du noyau mystérieux des choses comme la nuit on est quelquefois près du cœur.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1991
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|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
|page=1121
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{{citation|Quand je te revois, tout devient limpide. J’accepte de souffrir.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1991
|année d'origine=1982
|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
|page=1133
}}
 
{{citation|Et tu t’en vas ? Tu t’en vas ?… Non, tu ne t’en vas pas : je te garde. Tu me laisses dans les mains ton âme comme un manteau.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
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|année=1991
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|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
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{{citation|On dit : fou de joie. On devrait dire : sage de douleur.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1991
|année d'origine=1982
|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
|page=1134
}}
 
{{citation|Il y’a six jours, il y’a six mois, il y eu six ans, il y aura six siècles… Ah ! mourrir pour arrêter le temps…}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1991
|année d'origine=1982
|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
|page=1134
}}
 
{{citation|L’amour est un châtiment. Nous sommes punis de n’avoir pas pu rester seuls.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1991
|année d'origine=1982
|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
|page=1145
}}
 
{{citation|Je ne puis m’empêcher de voir dans mon amour une forme raffinée de la débauche, un stratagème pour passer le temps, pour le passer du Temps. Le plaisir effectue en plein ciel un atterrissage forcé, dans le bruit de moteur fou des derniers soubresauts du cœur. En vol plané, la prière y monte ; l’âme y entraîne le corps dans l’assomption de l’amour. Pour qu’une assomption soit possible, il faut un Dieu. Tu as juste assez de beauté, d’aveuglement et d’exigences pour figurer un tout-puissant. J’ai fait de toi faute de mieux la clef de voûte de mon univers.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1991
|année d'origine=1982
|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
|page=1145
}}
 
{{citation|Tes cheveux, tes mains, ton sourire rappellent de loin quelqu’un que j’adore. Qui donc ? Toi-même.}}
{{Réf Livre
|auteur=Marguerite Yourcenar
|éditeur=Gallimard
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=1991
|année d'origine=1982
|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Feux
|année de la contribution=1935
|page=1145
}}
 
Ligne 218 ⟶ 405 :
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|titre=Œuvres romanesques
|année=19821991
|année d'origine=1982
|ISBN=2-07-011018-4
|titre de la contribution=Feux