« Nadine Gordimer » : différence entre les versions
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[[File:Nadine Gordimer 01.JPG|thumb|Nadine Gordimer 01]]
'''{{W|Nadine Gordimer}}''' est une femme de lettres sud-africaine, romancière, nouvelliste, critique et éditrice, née le {{Date-|20 novembre 1923}} à Springs ([[w:Afrique du Sud|Afrique du Sud]]), et morte le {{Date-|14 juillet 2014}}. Elle reçoit le prix Nobel de littérature en 1991.
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{{citation
|citation=On porte tous un uniforme, en fonction de ce qu’on veut afficher, ou bien maquiller, de sa personnalité.}}
{{Réf Livre
|titre=
|auteur=Nadine Gordimer
|éditeur=Plon
Ligne 12 :
|page=29
|ISBN=2-259-18807-9
|traducteur=Claude Wauthier et Fabienne Teisseire
|collection=Feux Croisés
}}
Ligne 18 ⟶ 19 :
|citation=Quand on est en prison, on est mort à la conscience du monde, on n’y existe plus qu’au passé.}}
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|auteur=Nadine Gordimer
|éditeur=Plon
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|page=36
|ISBN=2-259-18807-9
|traducteur=Claude Wauthier et Fabienne Teisseire
|collection=Feux Croisés
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Ligne 30 ⟶ 32 :
|citation=La mort est le prix de la vie.}}
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|auteur=Nadine Gordimer
|éditeur=Plon
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|page=154
|ISBN=2-259-18807-9
|traducteur=Claude Wauthier et Fabienne Teisseire
|collection=Feux Croisés
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Ligne 42 ⟶ 45 :
|citation=Nous sommes tous des créatures mêlées d'amour et de mal.}}
{{Réf Livre
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|auteur=Nadine Gordimer
|éditeur=Plon
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|page=252
|ISBN=2-259-18807-9
|traducteur=Claude Wauthier et Fabienne Teisseire
|collection=Feux Croisés
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Ligne 54 ⟶ 58 :
|citation=La justice est un spectacle.}}
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|auteur=Nadine Gordimer
|éditeur=Plon
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|ISBN=2-259-18807-9
|traducteur=Claude Wauthier et Fabienne Teisseire
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Ligne 66 ⟶ 71 :
|citation=Tuer n’est que l’acte final qui découle de tous ceux qui l’entourent.}}
{{Réf Livre
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|auteur=Nadine Gordimer
|éditeur=Plon
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|ISBN=2-259-18807-9
|traducteur=Claude Wauthier et Fabienne Teisseire
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Ligne 78 ⟶ 84 :
|citation=La fin est impossible à imaginer ; si nous le savions dès le début, nous ne prendrions jamais le départ.}}
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|auteur=Nadine Gordimer
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Ligne 84 ⟶ 90 :
|page=274
|ISBN=2-259-18807-9
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Ligne 90 ⟶ 97 :
|citation=Un procès est ce qui reste des veillées de la tradition orale.}}
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|auteur=Nadine Gordimer
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Ligne 102 ⟶ 110 :
|citation=La prison c’est l’obscurité. Dedans. Au-dedans de soi. C’est une nuit qui n’en finit pas, même sous la lumière crue que déversent sans concession les néons vissés au plafond de la cellule.}}
{{Réf Livre
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|auteur=Nadine Gordimer
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Ligne 114 ⟶ 123 :
|citation=Quelque chose de neuf naît de quelque chose de terrible.}}
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|auteur=Nadine Gordimer
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Ligne 126 ⟶ 136 :
|citation=Tout le monde souffre, d’une manière ou d’une autre, nous sommes tous des gens en difficulté.}}
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|traducteur=Claude Wauthier et Fabienne Teisseire
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