« Michel Henry » : différence entre les versions

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→‎Citations d'articles et de revues : Jean Leclercq : « Michel Henry était un mystique sauvage »
→‎Jean Leclercq, professeur de philosophie (1966- ) : Michel Henry est un penseur de l’affectivité
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'''- Article intitulé : ''Jean Leclercq : « Michel Henry était un mystique sauvage »'' :'''
 
{{citation|« Ensuite, comme Michel Henry est un penseur de l’affectivité, il pense l’expérience religieuse comme un sentiment, d’où son intérêt pour Novalis et le romantisme. Michel Henry est d’ailleurs un romantique en ce sens là. Pour lui, la religiosité est un sentiment, un affect. Cela provoque la rencontre de deux méthodologies : la méthodologie de la recherche d’une parole originaire et la méthodologie de la phénoménologie matérielle. Michel Henry était fasciné par la parole de Jésus « C’est Moi la Vérité ». Sur le plan philosophique, c’est, selon lui, l’écrasement de la subjectivité sur la vérité et réciproquement. Il se passe donc cette chose inouïe, sur le plan de l’histoire des idées, qu’un homme ose dire : « La Vérité, c’est Moi. » »}}
{{Réf Article|titre=Jean Leclercq : "Michel Henry était un mystique sauvage"
|auteur=Matthieu Giroux
|publication=PHILITT (article en ligne)
|date=2 décembre 2020
|page=1
|url=https://philitt.fr/2020/12/02/jean-leclercq-michel-henry-etait-un-mystique-sauvage/}}
 
{{citation|« [Michel Henry] a refusé de faire partie de ''Communio'', la revue des intellectuels chrétiens autour de Jean-Luc Marion et du cardinal Lustiger. Il n’a pas voulu appartenir à l’intelligentsia catholique. Michel Henry était un homme seul, qui vivait sur les marges et qui était dans la voie érémitique plutôt que dans la voie mondaine des cercles intellectuels chrétiens. Il était en dehors de tout ça. C’est pourquoi j’ai toujours dit que c’était un mystique sauvage. »}}