« James Baldwin (écrivain) » : différence entre les versions

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==== ''Down at the Cross'' ====
{{pour info| « Lettre d’une région de mon esprit. » Initialement sous le titre « Letter from a Region in My Mind », ''New Yorker'', novembre 1962 {{lire en ligne|url= https://www.newyorker.com/magazine/1962/11/17/letter-from-a-region-in-my-mind}}.}}
{{Citation|La vie est tragique simplement parce que la terre tourne et que le soleil se lève et se couche inexorablement et parce que le jour viendra pour chacun d’entre nous où le soleil descendra pour la dernière fois. Peut-être l’origine de toutes les difficultés humaines se trouve—t-elle dans notre propension à sacrifier toute la beauté de nos vies, à nous emprisonner au milieu des totems, tabous, croix, sacrifices du sang, clochers, mosquées, races, armées, drapeaux, nations, afin de dénier que la mort existe, ce qui est précisément notre unique certitude.}}
{{Réf Livre
| titre = La prochaine fois, le feu
| auteur = James Baldwin
| traducteur = Michel Sciama
| éditeur = Gallimard
| collection = Folio
| année = 2018
| année d'origine = 1963
| ISBN =9782072786204
| page = 120-121
}}
 
{{Citation|Il faut beaucoup de force et beaucoup de ruse pour monter constamment à l’assaut de la puissante et hautaine forteresse de la primauté blanche, comme les Noirs de ce pays le font depuis si longtemps. Il faut beaucoup de souplesse spirituelle pour ne pas haïr celui qui vous hait et dont le pied écrase votre nuque, et ne pas apprendre à vos enfants à le haïr exige une sensibilité et une charité encore plus miraculeuses.}}
{{Réf Livre