« Henning Mankell » : différence entre les versions

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{{citation|Autrefois il s'était appelé Michelangelo. Son père, Fermi, était mort quand il avait six ans. Il s'en souvenait à peine, le père n'était qu'une des ombres de sa vie, un portrait inachevé dans l'une de ses immenses galeries intérieures. Sa mère avait vécu plus longtemps, jusqu'aux dix-neuf ans du fils. Autour d'elle il n'y avait que silence, une grande colère muette et haineuse.|précisions=À propos du Caravage.}}
{{Réf Livre|titre=Les Chaussures italiennes|auteur=Henning Mankell|éditeur=Seuil|année=2009|page=175|traducteur=Anna Gibson}}
 
{{citation|- Il n'y a pas de gens normaux. C'est une fausse image du monde, une idée que les politiques veulent nous faire avaler. L'idée que nous ferions partie d'une masse infinie de gens ordinaires, qui n'ont ni la possibilité ni la volonté d'affirmer leur différence. Le citoyen lambda, l'homme de la rue, tout ça – c'est du flan. Ça n'existe pas. C'est juste une excuse que se donnent nos dirigeant pour nous mépriser.}}
{{Réf Livre|titre=Les Chaussures italiennes|auteur=Henning Mankell|éditeur=Seuil|année=2009|page=168|traducteur=Anna Gibson}}
 
{{citation|La haine peut servir de moteur pendant un certain temps - pas davantage. Elle peut te donner une force un peu illusoire, mais elle reste toujours en premier lieu un parasite qui te dévore.}}