« Bridget Riley » : différence entre les versions

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{{Citation|Les plaisirs de la vue ont une chose en commun – ils vous prennent au dépourvu. Ils sont soudains, rapides et inattendus. Si on essaie de les prolonger, les retrouver ou les faire venir volontairement, leur pureté et leur fraîcheur sont perdues. Ils sont essentiellement énigmatiques et élusifs.|précisions=}}
{{Réf Livre
| titre = L’Esprit de l’œil
| auteur = Bridget Riley
| traduction =[[Emmelene Landon]]
| éditeur = Beaux-arts de Paris
| année = 2008
| ISBN =978-2-84056-282-5
| chapitre =Les plaisirs de la vue, 1984
| page =35
}}
 
{{Citation|J’ai découvert que je peignais afin de « rendre visible ». D’un côté, je devais créer quelque chose qui avait cette qualité essentielle de précipiter comme « surprise » et, dans le même temps, il n’y avait aucun moyen de savoir par avance de quoi il s’agissait avant que cette chose existe ; pour qu’on voie, on était obligé de peindre, et à travers cette activité on trouvait ce qui peut être vu.}}
{{Réf Livre
| titre = L’Esprit de l’œil