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{{Citation|''The Poetics of Music'' (''Les poétiques de la musique'')[…] qui, avec une édition anglaise des écrits de [[Paul Klee]] intitulés ''The Thinking Eye'' [L’Œil qui pense]'', est devenu une de mes bibles dans les années soixante, et ce paragraphe en particulier a fait résonner une corde très puissante : « Ainsi ma liberté consiste en ma façon d’évoluer dans le cadre étroit que je me suis assigné pour chacune de mes entreprises. J’irai même plus loin : ma liberté sera d’autant plus grande et plus significative, plus ne limiterai étroitement mon champs d’action, plus je m’entourerai d’obstacles. Tout ce qui diminue la contrainte diminue la force. Plus on impose de contraintes, plus on se libère des chaînes qui entravent l’esprit. » Je pense que c’est un très beau texte, et c’est devenu pour moi un principe directeur.|précisions=[[Igor Stravinsky]], ''The Poetics of Music'', 1942, p. 65.}}
{{Réf Livre
| titre = L’Esprit de l’œil
| auteur = Bridget Riley
| traductiontraducteur =[[Emmelene Landon]]
| éditeur = Beaux-arts de Paris
| année = 2008
| ISBN =978-2-84056-282-5
| chapitre =Perception et emploi de la couleur. Conversation avec [[Ernst Gombrich|Ernst H. Gombrish]], 1995
| page =99
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| titre = L’Esprit de l’œil
| auteur = Bridget Riley
| traductiontraducteur =[[Emmelene Landon]]
| éditeur = Beaux-arts de Paris
| année = 2008