« Bridget Riley » : différence entre les versions

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{{Citation|J'ai conçu Continuum en 1963 pour ma deuxième exposition personnelle à la Gallery One. Il s'agissait de la plus grande peinture que j'avais jamais faite et je voulais que le spectateur soit « dans » l'œuvre, qu'il en fasse partie. Il y a deux sources à l'œuvre : d'une part, l'acquisition récente par la National Gallery à Londres des Nénuphars de Claude Monet, l'une des grandes toiles liées aux Nymphéas de l'Orangerie. Dans son œuvre achevée, Monet cerne le spectateur de toutes parts. L'autre source de l'œuvre est Jackson Pollock, qui disait souvent être « dans » la peinture ; j'avais vu les photographies de Hans Namuth qui montraient Pollock marchant à l'intérieur de la toile étendue par terre. [Mais Continuum] était trop littérale, puisque le spectateur se trouvait « dans » l'œuvre au sens propre alors que je ne souhaitais qu'une absorption visuelle|précisions=Exposition, « L’œil moteur. Art optique et cinétique, 1950-1975, musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg, 2005.}}
{{Réf Livre
| titre = L’œil moteur. Art optique et cinétique, 1950-1975
| titre =
| auteur = Collectif
| éditeur = Musées de Strasbourg
| année = 2005
| ISBN =2-901833-92-6
| page = 50
}}