« Paul Klee » : différence entre les versions

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→‎Marc Le Bot : ''Égale infini'' et sa « semaille ponctuelle » entraînent les yeux…
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{{Citation| Voir et dire jouent toujours entre eux. Les œuvres de Paul Klee créent entre ces deux termes un jeu au sens où nous disons qu’il y a du jeu entre les pièces d’une machine. Ainsi une autre incertitude, une impossible exactitude du commentaire de l’image s’ajoute à l’ignorance où on est de savoir « par où commencer » sa lecture.}}
{{Réf Livre
| titre = Paul Klee
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[[Image:EqualsInfinity.png|vignette|''Égale infini'']]
{{Citation| ''Égale infini'' propose la métaphore la plus poignante du désir humain qui est en jeu dans l’art. La série de ses images « pointillistes » montre que Paul Klee poursuit cette rêverie d’infini parmi des paysage ou dans un Parnasse divin que symbolise une Pyramide. ''Égale infini'' et sa « semaille ponctuelle » entraînent les yeux dans une même rêverie d’infinitude. […]À suivre ces jeux formels, le pensée entre, comme sans échappatoire, dans cette errance infinie, vouée à ne jamais s’arrêter, où Paul Klee veut sciemment nous engager.}}
{{Réf Livre
| titre = Paul Klee