« Jules Supervielle » : différence entre les versions
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né à Montevideo, mais ses parents étaient français |
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Ligne 24 :
{{Réf Livre|titre de la contribution=Le sillage
|auteur de la contribution=Jules Supervielle
|titre=Anthologie de la poésie française du
|auteur=Michel Décaudin (Ed.)
|éditeur=Gallimard
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Je vous aime, airs naïfs, dont l'âme douce rôde
Comme une fleur vieillotte errant au jeu des vents ;
Vous
L'intime odeur du bois sur la braise encore chaude !
</poem>}}
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{{citation|citation=<poem>
J'aurai
Visitant bois, ravins, villes au gré du sort,
Et sans jamais pouvoir retourner en arrière,
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Puissé-je alors, brillant d'une ultime lumière,
Riche de tous les ciels que j'aurai
Avoir le calme élan des larges estuaires
Dans la pompe des fins d'été !
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