« Jules Supervielle » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
né à Montevideo, mais ses parents étaient français
Ligne 24 :
{{Réf Livre|titre de la contribution=Le sillage
|auteur de la contribution=Jules Supervielle
|titre=Anthologie de la poésie française du XXèXXe siècle
|auteur=Michel Décaudin (Ed.)
|éditeur=Gallimard
Ligne 74 :
Je vous aime, airs naïfs, dont l'âme douce rôde
Comme une fleur vieillotte errant au jeu des vents ;
Vous mêlesmêlez à la cendre immense du vieux temps,
L'intime odeur du bois sur la braise encore chaude !
</poem>}}
Ligne 89 :
 
{{citation|citation=<poem>
J'aurai flanéflâné ma vie, incertaine rivière,
Visitant bois, ravins, villes au gré du sort,
Et sans jamais pouvoir retourner en arrière,
Ligne 95 :
 
Puissé-je alors, brillant d'une ultime lumière,
Riche de tous les ciels que j'aurai relétésreflétés,
Avoir le calme élan des larges estuaires
Dans la pompe des fins d'été !