« Pline l'Ancien » : différence entre les versions

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{{citation|citation= L'homme devient dieu pour l'homme en le secourant; ce chemin est celui de la gloire éternelle. |précisions=|langue=la}}
{{Réf Livre|titre=Histoire naturelle|auteur=Pline l'Ancien|éditeur=Dubochet|année=1848-1850|page=n.|section=II, 5|traducteur=Émile Littré|langue=la}}
 
{{citation|citation= Pour nous tous, l'état après le dernier jour est le même qu'avant le premier. Après la mort le corps & l'âme n'ont pas plus de sentiment qu'avant la naissance. C'est en effet la même vanité qui nous fait imaginer au-delà du tombeau le mensonge d'une vie. Tantôt c'est l'immortalité de l’âme, tantôt c'est la métempsycose; d'autres fois on accorde du sentiment aux ombres des enfers; on honore les mânes & on fait un dieu de celui qui a cessé d’être un homme, comme si la manière de respirer de l'Homme différait en rien de celle des autres animaux! comme si l'on ne trouvait pas dans le monde beaucoup d'êtres plus durables, auxquels personne ne suppose une pareille immortalité! |précisions=|langue=la}}
{{Réf Livre|titre=Histoire naturelle|auteur=Pline l'Ancien|éditeur=Édition & choix d'Hubert Zehnacker folio classique|année=1999-2020|page=n.|section=VII, 5|traducteur=Émile Littré|langue=la}}
 
{{citation|citation=Il y a auprès du fleuve Indus deux montagnes, dont l’une retient et l’autre repousse toute espèce de fer (XXXVI, 25); de la sorte, si l’on porte des clous aux souliers, dans l’une on ne peut pas retirer son pied, dans l’autre on ne peut pas le poser.|précisions=Voir [[w:Aimant permanent#Histoire|Aimant permanent]]}}