« Jean d'Ormesson » : différence entre les versions
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Ligne 294 :
|auteur=Jean D'Ormesson
|titre=Tous les hommes en sont fous
|éditeur=Éditions Jean
|année=1986
|page=19
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{{citation|citation=
Mais moi, j'ai vu pleurer Pandora ou Vanessa, je les ai vues se méfier de leurs pouvoirs et de leurs dons, je les ai vues troublées de régner avec si peu de peine sur le monde et sur les hommes. On me dira que j'étais, que je suis, que j'ai toujours été partial. Je dirai que personne ne peut jamais juger personne et que le cœur des êtres humains est plus insaisissable que la mer ou le feu. Je crois que, dès l'enfance, par leur charme et leur dureté, par leurs folies, par leurs mensonges, les quatre sœurs O'Shaughnessy n'ont jamais rien fait d'autre que d
}}
{{réf Livre
|auteur=Jean D'Ormesson
|titre=Tous les hommes en sont fous
|éditeur=Éditions Jean
|année=1986
|page=45
Ligne 316 :
|auteur=Jean D'Ormesson
|titre=Tous les hommes en sont fous
|éditeur=Éditions Jean
|année=1986
|page=146
Ligne 322 :
{{citation
|citation=La musique de [[Giuseppe Verdi|Verdi]] émut beaucoup la comtesse. Les souvenirs lui revenaient en foule. Et les souvenirs de Marie étaient pour moi autant de rêves. Après le chœur des esclaves, elle se tourna vers moi dans la loge immense que nous occupions à nous deux : <br />
– Nous sommes tous des esclaves, me dit-elle. <br />
– Les esclaves des autres, lui dis-je. Et les esclaves de nous-mêmes. <br />
– Oui, c'est un peu
}}
{{réf Livre
|auteur=Jean D'Ormesson
|titre=Tous les hommes en sont fous
|éditeur=Éditions Jean
|année=1986
|page=146
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