« Adolf Hitler » : différence entre les versions

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== Citations d'Adolf Hitler==
=== Histoire ===
{{Citation|citation=Si le Duce mourrait, ce serait un grand malheur pour l'Italie. Quand on circule avec lui dans la villa Borghèse et qu'on le compare avec les bustes romains, on pense immédiatement : c'est un César ! Il a certainement en lui l'héritage d'un des grands hommes de cette époque.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=27 juillet 1941
|page=142}}
 
{{Citation|citation=Celui qui reste indifférent à l'Histoire est comme privé d'ouïe ou de visage. Assurément, il peut vivre ainsi, mais qu'est-ce qu'une telle vie !}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=27 juillet 1941
|page=143}}
 
{{Citation|citation=Berlin, en tant que capitale mondiale, ne pourra se comparer qu'à l'ancienne Égypte, à Babylone ou à Rome; qu'est-ce que Londres, qu'est-ce que Paris à côté de cela ?}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=11 mars 1942
|page=218}}
 
{{Citation|citation=L'Angleterre a contraint Napoléon à faire la guerre, exactement comme avec nous. Si on ne le comprend pas, on ne rend pas justice à Napoléon.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=23 mars 1942
|page=222}}
 
{{Citation|citation=A l'époque où nos ancêtres fabriquaient des auges en pierre et des cruches en argile, autour desquelles nos archéologues font tant de bruit, on construisait une acropole en Grèce. [...] Les véritables représentants de la civilisation dans les derniers millénaires avant notre ère et dans le premier après, furent les Méditerranéens.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=7 juillet 1942
|page=503}}
 
{{Citation|citation=L'époque arabe fut l'âge d'or de l'Espagne la plus civilisée. Puis vint l'époque des persécutions toujours recommencées.}}
{{Réf Livre|titre=Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann
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|section=10 septembre 1941
|page=154}}
 
{{Citation|citation=L'allié italien nous a gênés presque partout. C'est ce qui nous a empêchés, en Afrique du Nord, par exemple, de faire une politique révolutionnaire [...] Seuls, nous aurions pu émanciper les pays musulmans dominés par la France. Cela aurait eu un retentissement énorme en Égypte et dans le Proche-Orient asservis par les Anglais. D'avoir notre sort lié à celui des Italiens, cela rendait une telle politique impossible. Tout l'Islam vibrait à l'annonce de nos victoires. Les Égyptiens, les Irakiens et le Proche-Orient tout entier étaient prêts à se soulever. Que pouvions-nous faire pour les aider, pour les pousser même, comme c'eût été notre intérêt et notre devoir. La présence à nos côtés des Italiens nous paralysait, et elle créait un malaise chez nos amis de l'Islam, car ils voyaient en nous des complices, volontaires ou non, de leurs oppresseurs [...] Le souvenir des barbares représailles exercées contre les Senoussis y est toujours vivant. Et d'autre part la ridicule prétention du Duce d'être considéré comme le « Glaive de l'Islam » entretient encore le long ricanement qu'elle suscita avant la guerre. Ce titre qui convient à Mahomet et à un grand conquérant comme Omar, Mussolini se l'était fait donner par quelques pauvres bougres, qu'il avait payés ou terrorisés. Il y avait une grande politique à faire à l'égard de l'Islam. C'est raté - comme tant d'autres choses que nous avons ratées par fidélité à l'alliance italienne ! Les Italiens, sur ce théâtre d'opérations, nous ont donc empêchés de jouer l'une de nos meilleures cartes: qui consistait à émanciper tous les protégés français et à soulever les pays opprimés par les Britanniques. Cette politique aurait suscité l'enthousiasme dans tout l'Islam. C'est en effet une particularité du monde musulman que ce qui touche les uns, en bien ou en mal, y est ressenti par tous les autres, des rives de l'Atlantique à celles du Pacifique.}}
{{Réf Livre|titre=Testament politique d'Hitler
|auteur=Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper
|éditeur=Fayard
|année=1959
|section=17 février 1945
|page=100}}
 
=== Les différents peuples ===
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|année=1934
|page=40}}
 
{{Citation|citation=Ils sont d'une outrecuidance inouïe ces Anglais, mais je ne les admire pas moins ; nous avons beaucoup à apprendre à cet égard.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=10 septembre 1941
|page=156}}
 
{{Citation|citation=Les Anglais ont Shakespeare, mais, en dehors de cela, leur histoire ne contient que des énergumènes ou des nullités.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=4 février 1942
|page=191}}
 
{{Citation|citation=En ce qui concerne la France, il faut penser que sa réputation militaire n'est pas due à l'état d'esprit du gros de sa population, mais simplement au fait qu'elle a su profiter, sur le continent, de constellations militaires qui lui étaient favorables. Chaque fois qu'elle s'est trouvée devant les Allemands résolus, elle s'est fait rosser, sous Frédéric le grand, en 1940, etc. Le fait qu'un génie militaire comme le Corse Napoléon ait pu la conduire à de grandes victoires historiques n'y change rien.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=5 avril 1942
|page=284}}
 
{{Citation|citation=Notre racisme n'est agressif qu'à l'égard de la race juive. Nous parlons de race juive par commodité de langage, car il n'y a pas, à proprement parler, et du point de vue de la génétique, de race juive [...] La race juive est avant tout une race mentale [...] Une race mentale, c'est quelque chose de plus solide, de plus durable qu'une race tout court. Transplantez un Allemand aux États Unis, vous en faites un Américain. Le Juif, où qu'il aille, demeure un juif. C'est un être par nature inassimilable. Et c'est ce caractère même qui le rend impropre à l'assimilation, qui définit sa race. Voilà une preuve de la supériorité de l'esprit sur la chair !}}
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=== Colonisation ===
{{Citation|citation=À peine arrivons-nous dans une colonie que nous y construisons des jardins et des hôpitaux pour les indigènes. Cela me met en rage ! La femme blanche est dégradée au service des Noirs, et la prêtraille s'y ajoute avec sa fabrication des anges. Toutes ces cajoleries aboutissent à faire détester les Allemands. C'est un comble ! Pour les indigènes, c'est une brimade. Ils ne comprennent pas. Le remerciement, c'est qu'ils nous considèrent comme des pédants qui ont plaisir à manier la matraque.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=19 février 1942
|page=197}}
 
{{Citation|citation=Les blancs ont toutefois apporté quelque chose à ces peuples (colonisés), le pire qu'ils pussent leur
apporter, les plaies du monde qui est le nôtre : le matérialisme, le fanatisme, l'alcoolisme et la syphilis. Pour le reste, ce que ces peuples possédaient en propre étant supérieur à ce que nous pouvions leur donner, ils sont demeurés eux-mêmes [...] Une seule réussite à l'actif des colonisateurs : ils ont partout suscité la haine. Cette haine qui pousse tous ces peuples, réveillés par nous de leur sommeil, à nous chasser. Il semble même qu'ils ne se soient réveillés que pour cela !}}
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|section=27 janvier 1942
|page=247}}
 
{{Citation|citation=Cette philosophie [japonaise], qui est une des raisons principales de leur succès, n'a pu se maintenir comme principe d'existence du peuple que parce que celui-ci est resté protégé contre le poison du christianisme. Comme dans l'Islam, la religion japonaise est dépourvue de tout terrorisme et contient seulement l'espoir de la félicité. Le terrorisme est seulement une idée juive répandue par le christianisme.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=4 avril 1942
|page=274}}
 
{{Citation|citation=Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade!) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empéchés.}}
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|section=1er mars 1942
|page=208}}
 
{{Citation|citation=A coté de celui de la femme, l'univers de l'homme est très vaste. Il appartient avant tout à son devoir et ne pense aux femmes que par intermittence. L'homme constitue l'univers de la femme. C'est aux autres choses qu'elle pense seulement par intermittence. La différence est considérable.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=10 mars 1942
|page=215}}
 
{{Citation|citation=De nombreux exemples historiques prouvent que la femme, même la plus intelligente, est incapable de séparer, en politique, ce qui relève de la raison et ce qui relève du sentiment.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=27 mars 1942
|page=237}}
 
=== Animaux ===
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|section=26 janvier 1942
|page=180}}
 
=== L'art, la musique, la littérature ===
{{Citation|citation=Les guerres passent. Seules les œuvres de la culture ne passent pas. D'où mon amour de l'art. La musique, l'architecture ne sont-elles pas les forces qui montrent le chemin à l'humanité montante ? Quand j'entends du Wagner, il me semble percevoir le rythme du monde antérieur.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=26 janvier 1942
|page=183}}
 
=== Philosophie ===
{{Citation|citation=C'est un fait que nous sommes de faibles créatures, mais aussi qu'il existe une force créatrice. Vouloir le nier, c'est de la sottise. Celui qui croit à quelque chose de faux est encore au-dessus de celui qui ne croit en rien.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=24 octobre 1941
|page=162}}
 
{{Citation|citation=Aussi faut-il étudier les lois de la Nature pour ne pas agir contre elle, autrement, ce serait s'insurger contre le ciel. S'il me faut croire à un ordre divin, c'est celui-ci : préserver l'espèce.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=1er décembre 1941
|page=166}}
 
=== Antiphaties sociales et philosophiques ===
{{Citation|citation=A quoi bon enseigner la géométrie, la physique, la chimie à un garçon qui veut être musicien ? Qu'en retient-il ? Rien.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=3 mars 1942
|page=211}}
 
{{Citation|citation=Quand on pense qu'un maître peut gâcher toute la vie d'un homme, il faut conclure que la direction d'une nation ne peut se baser sur l'enseignement scolaire. Il faut laisser à la vie la possibilité de corriger. La seule chose qui compte, c'est ce qui est réellement fait, pas la note...}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=3 mars 1942
|page=212}}
 
{{Citation|citation=Aucune classe n'est aussi stupide que cette prétendue bourgeoisie dans les affaires politiques.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=15 mai 1942
|page=392}}
 
=== Biologie (pseudo-darwinisme) ===
{{Citation|citation=Il n'existe aucun être, aucune substance mais, non plus, aucune institution humaine qui ne finisse par vieillir. Cependant, chaque institution doit se croire éternelle, sous peine de s'abandonner elle-même. L'acier le plus dur s'amollit, tous les éléments se désagrègent. Aussi surement que la terre aura sa fin, toutes les institutions trouvent un jour la leur.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|traducteur=René Jouan
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=24 octobre 1941
|page=158}}
 
{{Citation|citation=D'après la loi éternelle de la nature, le sol appartient à celui qui le conquiert parce que les anciennes frontières n'offrent plus assez d'espaces à l'accroissement de son peuple.}}
{{Réf Livre|titre=Hitler cet inconnu (''Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier'')
|année d'origine=1951
|auteur=Adolf Hitler, notes de Henry Picker
|éditeur=Presses de la cité
|année=1969
|section=28 janvier 1942
|page=188}}
 
=== ''Mein Kampf'', 1924 ===