« Araignée » : différence entre les versions

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== Littérature ==
==== [[Charles Bukowski]], ''Journal d'un vieux dégueulasse'', 1969 ====
=== Nouvelle ===
==== [[Charles Bukowski]], ''Journal d'un vieux dégueulasse'', 1969 ====
{{citation|citation=Balanos était doué — les bras de cet enculé étaient quasiment reptiliens, mais surtout il ne bougeait pas d'un pouce —, il savait s'effacer, s'esquiver, et il ne s'exposait pas davantage qu'une araignée maléfique. pour autant, chacun de ses coups portait et faisait mal. pour le battre, il aurait fallu un très grand champion. aussi Watson aurait-il mieux fait de reprendre son petit agneau et de rentrer chez lui.}}
{{Réf Livre|titre=Journal d'un vieux dégueulasse|auteur=[[Charles Bukowski]]|éditeur=Grasset & Fasquelle|collection=Le Livre de Poche|année=1969|année d'origine=1996|page=57|ISBN=978-2-253-14384-0}}
 
==== [[Colette]], ''Le Blé en herbe'', 1923 ====
=== Roman ===
==== [[Colette]], ''Le Blé en herbe'', 1923 ====
{{Citation|citation=Des champignons moites sortaient de terre, et les araignées des jardins, à cause des nuits plus fraîches, rentraient le soir dans la resserre aux jouets et s'y rangeaient sagement au plafond.}}
{{Réf Livre|titre=Le Blé en herbe|auteur=[[Colette]]|éditeur=Flammarion|année=2004|année d'origine=1923|page=39|ISBN=2-08-068641-0}}
 
==== [[StephenJ. KingR. R. Tolkien]], ''TerresLe perduesHobbit'', 19911937 ====
{{citation|<poem>La vieille folle ne fait que tisser !
La vieille folle ne peut me trouver !
La Vénéneuse !
L'Empoisonneuse !
Arrête, mais arrête-toi,
Arrête de tisser et cherche-moi !</poem>
|original=
|précisions=Chanson de défi de Bilbo aux araignées
|langue = en}}
{{Réf Livre
|titre=[[Le Hobbit]]
|auteur=[[John Ronald Reuel Tolkien]]
|éditeur=Le Livre de Poche
|année=2012
|année d'origine= 1937
|traducteur=Daniel Lauzon
|chapitre=8. Mouches et araignées
|page=216-217
|isbn=978-2-253-18382-2}}
 
=== [[Stephen King]], ''Terres perdues'', 1991 ===
{{citation|citation=Tout est silence dans les corridors de la mort, murmura Eddie d'une voix blanche. Tout est oubli dans les corridors de pierre de la mort. Voyez l'escalier montant dans les ténèbres ; voyez les chambres de la ruine ; ce sont les corridors de la mort, où les araignées tissent leur toile et où les grands circuits se taisent, l'un après l'autre.}}
{{Réf Livre|titre=Terres perdues|auteur=[[Stephen King]]|éditeur=J'Ai Lu|année=1993|page=109|traducteur=Jean-Daniel Brèque|ISBN=2-277-23243-2}}