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'''[[w:Paul Verlaine|Paul Verlaine]]''' (Metz, 30 mars 1844 — Paris, 8 janvier 1896) est un poète français.
 
== ''DédicacesPoèmes saturniens'', 1866 ==
{{citation|Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant<br />
 
{{citation|
Mortel, ange ET démon, autant dire Rimbaud,<br />
Tu mérites la prime place en ce mien livre}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Dédicaces|année de la contribution=1890|section=poème LXII (« À Arthur Rimbaud »)|vers=1-2|titre=Œuvres complètes de Paul Verlaine|auteur=Paul Verlaine|page=161|tome=3|éditeur=L. Vanier|année=1902-1905}}
 
== ''Poèmes saturniens'' ==
 
{{citation|
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant<br />
D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime,<br />
Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même,<br />
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{{réf Livre|titre=Poèmes saturniens|auteur=Paul Verlaine|année=1866|éditeur=A. Lemerre|section=poème VI (« Mon rêve familier »)|partie=Mélancholia|page=23|vers=1-4|s=}}
 
{{citation|Et pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a<br />
{{citation|
Et pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a<br />
L'inflexion des voix chères qui se sont tues.}}
{{réf Livre|titre=Poèmes saturniens|auteur=Paul Verlaine|année=1866|éditeur=A. Lemerre|section=poème VI (« Mon rêve familier »)|partie=Mélancholia|page=24|vers=13-14|s=}}
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{{réf Livre|titre=Poèmes saturniens|auteur=Paul Verlaine|année=1866|éditeur=A. Lemerre|section=poème V (« Chanson d'automne »)|partie=Paysages tristes|page=58|vers=13-18|s=}}
 
== ''“Hombres”Romances sans paroles'', (Hommes)1874 ==
{{citation|
Il pleure dans mon cœur<br />
Comme il pleut sur la ville,<br />
Quelle est cette langueur<br />
Qui pénètre mon cœur ?}}
{{réf Livre|titre=Romances sans paroles|auteur=Paul Verlaine|année=1874|éditeur=L'Hermitte|poème=III (« Il pleure dans mon cœur »)|partie=Ariettes oubliées|vers=1-4|page=9|s=}}
 
== ''Dédicaces'', 1890 ==
{{citation|Mortel, ange ET démon, autant dire Rimbaud,<br />
Tu mérites la prime place en ce mien livre}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Dédicaces|année de la contribution=1890|section=poème LXII (« À Arthur Rimbaud »)|vers=1-2|titre=Œuvres complètes de Paul Verlaine|auteur=Paul Verlaine|page=161|tome=3|éditeur=L. Vanier|année=1902-1905}}
 
== ''“Hombres”'' (Hommes) ==
{{citation|
Dans ce café bondé d'imbéciles, nous deux<br />
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Leurs normales amours et leur morale en toc.}}
{{réf Livre|titre=”Hombres” (Hommes)|auteur=Paul Verlaine|année=1904|éditeur=N/A (« imprimé sous le manteau et ne se vend nulle part »)|section=poème XII (« Dans ce café »)|page=39|vers=1-5|s=Hombres}}
 
== ''Romances sans paroles'' ==
 
{{citation|
Il pleure dans mon cœur<br />
Comme il pleut sur la ville,<br />
Quelle est cette langueur<br />
Qui pénètre mon cœur ?}}
{{réf Livre|titre=Romances sans paroles|auteur=Paul Verlaine|année=1874|éditeur=L'Hermitte|poème=III (« Il pleure dans mon cœur »)|partie=Ariettes oubliées|vers=1-4|page=9|s=}}
 
{{interprojet|s=Paul Verlaine|commons=Paul Verlaine|w=Paul Verlaine}}