« John Stuart Mill » : différence entre les versions

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{{citation|Contraindre quiconque pour son propre bien, physique ou moral, ne constitue pas une justification suffisante. Un homme ne peut pas être légitimement contraint d'agir ou de s'abstenir sous prétexte que ce serait meilleur pour lui, que cela le rendrait plus heureux ou que, dans l'opinion des autres, agir ainsi serait sage ou même juste.}}
{{réf Livre|titre=De la liberté|auteur=John Stuart Mill|traducteur=Laurence Lenglet|éditeur=Gallimard|collection=Folio|année=1990|ISBN=2-07-032536-9|page=74|année d'origine=1859}}
 
{{citation|citation=Celui qui ne connaît que ses propres arguments connaît mal sa cause.}}
{{réf Livre|titre=De la liberté|auteur=John Stuart Mill|traducteur=Laurence Lenglet|éditeur=Gallimard|collection=Folio|année=1990|ISBN=2-07-032536-9|page=241-242|année d'origine=1859}}
 
{{citation|La valeur d'un État, à la longue, c'est la valeur des individus qui le composent ; et un État qui sacrifie les intérêts de ''leur'' élévation intellectuelle à un peu plus d'art administratif - ou à l'apparence qu'en donne la pratique - dans le détail des affaires ; un État qui rapetisse les hommes pour en faire des instruments dociles entre ses mains, même en vue de bienfaits, un tel État s'apercevra qu'avec de petits hommes; rien de grand ne saurait s'accomplir, et que la perfection de la machine à laquelle il a tout sacrifié n'aboutit finalement à rien, faute de cette puissance vitale qu'il lui a plu de proscrire pour faciliter le jeu de la machine.