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{{Réf Livre|titre de la contribution=Les Travailleurs de la Mer|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=278|volume=Roman III|partie=Deuxième partie : Gilliatt le malin|chapitre=II (« Le monstre »)|section=livre quatrième (« Les doubles fonds de l'obstacle »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1866|collection=Bouquins|s=Les Travailleurs de la Mer}}
{{citation|La pieuvre n’a pas de masse musculaire, pas de cri menaçant, pas de cuirasse, pas de corne, pas de dard, pas de pince, pas de queue prenante ou contondante, pas d’ailerons tranchants, pas d’ailerons onglés, pas d’épines, pas d’épée, pas de décharge électrique, pas de virus, pas de venin, pas de griffes, pas de bec, pas de dents. La pieuvre est de toutes les bêtes la plus formidablement armée. Qu’est-ce donc que la pieuvre ? C’est la ventouse.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Les Travailleurs de la Mer|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=279|volume=Roman III|partie=Deuxième partie : Gilliatt le malin|chapitre=II (« Le monstre »)|section=livre quatrième (« Les doubles fonds de l'obstacle »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1866|collection=Bouquins|s=Les Travailleurs de la Mer}}
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