« Les Misérables » : différence entre les versions
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{{citation|citation=Les livres sont des amis froids et sûrs.|langue = {{fr}}}}▼
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=I (« Fantine »)|chapitre=
▲|citation=Les livres sont des amis froids et sûrs.
{{citation|citation=Voyager, c'est naître et mourir à chaque instant.|langue = {{fr}}}}▼
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=I (« Fantine »)|chapitre=
{{citation|citation=Penser, voilà le triomphe vrai de l’âme.|langue = {{fr}}}}▼
▲|citation=Voyager, c'est naître et mourir à chaque instant.
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=II (« Cosette »)|chapitre=
{{citation|citation=Nous sommes pour la religion contre les religions.|langue = {{fr}}}}▼
▲{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=I|chapitre=5|page=441|s=Les Misérables}}
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=
▲|citation=Penser, voilà le triomphe vrai de l’âme.
{{citation|citation=La pensée est le labeur de l’intelligence, la rêverie en est la volupté.|langue = {{fr}}}}▼
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=IV (« L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis »)|chapitre=
▲{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=II|chapitre=6|page=387|s=Les Misérables}}
{{citation|citation=Remplacer la pensée par la rêverie, c’est confondre un poison avec une nourriture.|langue = {{fr}}}}▼
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=IV (« L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis »)|chapitre=
▲|citation=Nous sommes pour la religion contre les religions.
{{citation|citation=L’amour, c’est la salutation des anges aux astres.|langue = {{fr}}}}▼
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=
{{citation|citation=Dieu est derrière tout, mais tout cache Dieu.|langue = {{fr}}}}▼
▲|citation=La pensée est le labeur de l’intelligence, la rêverie en est la volupté.
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=IV (« L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis »)|chapitre=
{{citation|citation=La philosophie est le microscope de la pensée.|langue = {{fr}}}}▼
▲{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=IV|chapitre=1|page=71|s=Les Misérables}}
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=V (« Jean Valjean »)|chapitre=
▲|citation=Remplacer la pensée par la rêverie, c’est confondre un poison avec une nourriture.
▲{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=IV|chapitre=1|page=71|s=Les Misérables}}
▲|citation=L’amour, c’est la salutation des anges aux astres.
▲{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=IV|chapitre=4|page=193|s=Les Misérables}}
▲|citation=Dieu est derrière tout, mais tout cache Dieu.
▲{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=IV|chapitre=4|page=193|s=Les Misérables}}
▲|citation=La philosophie est le microscope de la pensée.
▲{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partie=V|chapitre=2|page=162|s=Les Misérables}}
{{citation|Cette pierre est toute nue. [...]. On n’y lit aucun nom.<br />
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La chose simplement d’elle-même arriva,<br />
Comme la nuit se fait lorsque le jour s’en va.}}
{{Réf Livre|auteur=Victor Hugo|titre=Les Misérables|éditeur=Le Livre de Poche|année=1998|page=1946|volume=Roman III|tome=V (« Jean Valjean »)|chapitre=VI (« L’herbe cache et la pluie efface »)|section=livre
{{Interprojet|w=Les Misérables|s=Les Misérables}}
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