« Les Misérables » : différence entre les versions

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'''Les Misérables''' est un roman de [[Victor Hugo]] paru en [[w:1862|1862]].
 
{{citation|citation=Ce tout petit changement avait été une révolution.|langue = {{fr}}}}
{{Réf Livre|auteur=Victor Hugo|titre=Les Misérables|éditeur=Le Livre de Poche|année=1998|page=238|volume=Roman III|tome=I (« Fantine »)|chapitre=I (« Histoire d'un progrès dans les verroteries noires »)|section=livre V (« La descente »)|ISBN=2-253-09634-2|année d'origine=1866|collection=Classiques|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=Dans les premiers temps, quand on le vit commencer, les bonnes âmes dirent : C'est un gaillard qui veut s'enrichir. Quand on le vit enrichir le pays avant de s'enrichir lui-même, les mêmes bonnes âmes dirent : C'est un ambitieux.[...]<br />
Ceux qui avaient déclaré ce nouveau venu « un ambitieux », saisirent avec transport cette occasion que tous les hommes souhaitent de s'écrier : « Là ! qu'est-ce que nous avions dit ? ». [...]. Quelques jours après, la nomination parut dans le Moniteur. Le lendemain, le père Madeleine refusa. [...].<br />
Nouvelle rumeur dans la petite ville. Eh bien ! c'est la croix qu'il voulait ! Le père Madeleine refusa la croix. [...]<br />
Décidément cet homme était une énigme. Les bonnes âmes se tirèrent d'affaire en disant : Après tout, c'est une espèce d'aventurier. [...]<br />
Quand on l'avait vu gagner de l'argent, on avait dit : c'est un marchand. Quand on l'avait vu semer son argent, on avait dit : c'est un ambitieux. Quand on l'avait vu repousser les honneurs, on avait dit : c'est un aventurier. Quand on le vit repousser le monde, on dit : c'est une brute. [...].<br />
Ce fut là la troisième phase de son ascension. Le père Madeleine était devenu monsieur Madeleine, monsieur Madeleine devint monsieur le maire.|langue = {{fr}}}}
{{Réf Livre|auteur=Victor Hugo|titre=Les Misérables|éditeur=Le Livre de Poche|année=1998|page=238|volume=Roman III|tome=I (« Fantine »)|chapitre=II (« M. Madeleine »)|section=livre V (« La descente »)|ISBN=2-253-09634-2|année d'origine=1866|collection=Classiques|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=Les livres sont des amis froids et sûrs.|langue = {{fr}}}}
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partietome=I (« Fantine »)|chapitre=III (« Sommes déposées chez Laffitte »)|section=livre V (« La descente »)|page=294|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=Voyager, c'est naître et mourir à chaque instant.|langue = {{fr}}}}
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partietome=I (« Fantine »)|chapitre=V (« Bâtons dans les roues »)|section=livre VII (« L'affaire Champmathieu »)|page=441|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=Penser, voilà le triomphe vrai de l’âme.|langue = {{fr}}}}
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partietome=II (« Cosette »)|chapitre=VI (« Bonté absolue de la prière »)|section=livre VII (« Parenthèse »)|page=387|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=Nous sommes pour la religion contre les religions.|langue = {{fr}}}}
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partietome=II (« Cosette »)|chapitre=VIII (« Foi, loi »)|section=livre VII (« Parenthèse »)|page=392|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=La pensée est le labeur de l’intelligence, la rêverie en est la volupté.|langue = {{fr}}}}
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partietome=IV (« L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis »)|chapitre=I (« Le Champ de l’Alouette »)|section=livre II (« Éponine »)|page=71|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=Remplacer la pensée par la rêverie, c’est confondre un poison avec une nourriture.|langue = {{fr}}}}
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partietome=IV (« L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis »)|chapitre=I (« Le Champ de l’Alouette »)|section=livre II (« Éponine »)|page=71|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=L’amour, c’est la salutation des anges aux astres.|langue = {{fr}}}}
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partietome=IV (« L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis »)|chapitre=IV (« Un cœur sous une pierre »)|section=livre V (« Dont la fin ne ressemble pas au commencement »)|page=193|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=Dieu est derrière tout, mais tout cache Dieu.|langue = {{fr}}}}
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partietome=IV (« L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis »)|chapitre=IV (« Un cœur sous une pierre »)|section=livre V (« Dont la fin ne ressemble pas au commencement »)|page=193|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=La philosophie est le microscope de la pensée.|langue = {{fr}}}}
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|partietome=V (« Jean Valjean »)|chapitre=II (« L’histoire ancienne de l’égout »)|section=livre II (« L'intestin de Léviathan »)|page=162|s=Les Misérables}}
 
{{citation|Cette pierre est toute nue. [...]. On n’y lit aucun nom.<br />