« Les Misérables » : différence entre les versions

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{{citation|citation=Ce tout petit changement avait été une révolution.|langue = {{fr}}}}
{{Réf Livre|auteur=Victor Hugo|titre=Les Misérables|éditeur=Le Livre de Poche|année=1998|page=238|volume=RomanLes IIIMisérables 1|tome=I (« Fantine »)|chapitre=I (« Histoire d'un progrès dans les verroteries noires »)|section=livre V (« La descente »)|ISBN=2-253-0963409633-21|année d'origine=1866|collection=Classiques|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=Dans les premiers temps, quand on le vit commencer, les bonnes âmes dirent : C'est un gaillard qui veut s'enrichir. Quand on le vit enrichir le pays avant de s'enrichir lui-même, les mêmes bonnes âmes dirent : C'est un ambitieux.[...]<br />
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Quand on l'avait vu gagner de l'argent, on avait dit : c'est un marchand. Quand on l'avait vu semer son argent, on avait dit : c'est un ambitieux. Quand on l'avait vu repousser les honneurs, on avait dit : c'est un aventurier. Quand on le vit repousser le monde, on dit : c'est une brute. [...].<br />
Ce fut là la troisième phase de son ascension. Le père Madeleine était devenu monsieur Madeleine, monsieur Madeleine devint monsieur le maire.|langue = {{fr}}}}
{{Réf Livre|auteur=Victor Hugo|titre=Les Misérables|éditeur=Le Livre de Poche|année=1998|page=238|volume=RomanLes IIIMisérables 1|tome=I (« Fantine »)|chapitre=II (« M. Madeleine »)|section=livre V (« La descente »)|ISBN=2-253-0963409633-24|année d'origine=1866|collection=Classiques|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=Les livres sont des amis froids et sûrs.|langue = {{fr}}}}
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{{citation|citation=Dieu est derrière tout, mais tout cache Dieu.|langue = {{fr}}}}
{{réf Livre|titre=[[w:Les Misérables|Les Misérables]]|auteur=[[Victor Hugo]]|éditeur=J. Hetzel et A. Quantin|année=1882|tome=IV (« L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis »)|chapitre=IV (« Un cœur sous une pierre »)|section=livre V (« Dont la fin ne ressemble pas au commencement »)|page=193|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=L’argot n’est autre chose qu’un vestiaire où la langue, ayant quelque mauvaise action à faire, se déguise. Elle s’y revêt de mots masques et de métaphores haillons.|langue = {{fr}}}}
{{Réf Livre|auteur=Victor Hugo|titre=Les Misérables|éditeur=Le Livre de Poche|année=1998|page=1333|volume=Les Misérables 2|tome=IV (« L'idylle rue Plumet et l'épopée rue Saint-Denis »)|chapitre=I (« Origine »)|section=livre VII (« L'argot »)|ISBN=2-253-09634-2|année d'origine=1866|collection=Classiques|s=Les Misérables}}
 
{{citation|citation=La philosophie est le microscope de la pensée.|langue = {{fr}}}}
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La chose simplement d’elle-même arriva,<br />
Comme la nuit se fait lorsque le jour s’en va.}}
{{Réf Livre|auteur=Victor Hugo|titre=Les Misérables|éditeur=Le Livre de Poche|année=1998|page=1946|volume=RomanLes IIIMisérables 2|tome=V (« Jean Valjean »)|chapitre=VI (« L’herbe cache et la pluie efface »)|section=livre IX (« Suprême ombre, suprême aurore »)|ISBN=2-253-09634-2|année d'origine=1866|collection=Classiques|s=Les Misérables}}
 
{{Interprojet|w=Les Misérables|s=Les Misérables}}