« Victor Hugo » : différence entre les versions

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'''[[w:Victor Hugo|Victor Hugo]]''' né le [[w:26 février|26 février]] [[w:1802|1802]] à [[w:Besançon|Besançon]], mort le [[w:22 mai|22 mai]] [[w:1885|1885]] à [[w:Paris|Paris]], est le plus important des [[w:auteur|auteurs]] [[w:Romantisme|romantiques]] de [[langue française]].
 
== Poésie ==
<!-- En attendant que j'ai les pages des citations, Altrensa
=== ''[[w:Les Contemplations|Les Contemplations]]'', [[w:1856 en littérature|1856]] ===
==''Hernani'', [[w:1830|1830]]==
* Voir l'article complet : [[Hernani]]
-->
== ''Claude Gueux'', [[w:1834|1834]] ==
{{citation
|citation=Au moment où l'aide le liait sur la hideuse mécanique, il fit signe au prêtre de prendre la pièce de 5 francs qu'il avait en sa main droite, et lui dit : "Pour les pauvres".<br/>Comme huit heures sonnait en ce moment, le bruit du beffroi de l'horloge couvrit sa voix, et le confesseur lui répondit qu'il n'entendait pas.<br/>Claude attendit l'intervalle de deux coups et répéta avec douceur : "Pour les pauvres".<br/>Le huitième coup n'était pas encore sonné que cette noble et intelligente tête était tombée.
|langue = {{fr}}
|précisions = Cette oeuvre s'inscrit dans le combat de Victor Hugo contre la peine de mort.
}}
{{réf Livre|titre=Claude Gueux|auteur=Victor Hugo|éditeur=Magnard (Classiques contemporains)|année=2000|page=43 lignes 698-706|s=Claude Gueux}}
 
== ''Les Misérables'', [[w:1862|1862]] ==
{{Loupe|Les Misérables}}
 
 
== ''[[w:Les Contemplations|Les Contemplations]]'', [[w:1856 en littérature|1856]] ==
 
{{citation|L’homme est une prison où l’âme reste libre.}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Les Contemplations|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|auteur=Victor Hugo|tome=Poésie VI|section=livre VI (« Au bord de l'infini »), poème XXVI (« Ce que dit la bouche d'ombre »)|page=350|s=Ce que dit la bouche d’ombre|éditeur=Hetzel/Quantin|année=1883|année d'origine=1856}}
 
=== ''[[w:Les Chansons des rues et des bois|Les Chansons des rues et des bois]]'', [[w:1866 en littérature|1866]] ===
 
{{citation|Ce livre est écrit beaucoup avec le rêve, un peu avec le souvenir.<br />Rêver est permis aux vaincus; se souvenir est permis aux solitaires.}}
{{réf Livre|titre de la contribution=Les Chansons des rues et des bois|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|auteur=Victor Hugo|tome=Poésie VIII|section=préface|page=2|s=Les Chansons des rues et des bois|éditeur=Hetzel/Quantin|année=1882|année d'origine=1866}}
 
== Roman ==
== ''[[w:L’Archipel de la Manche|L’Archipel de la Manche]]'', [[w:1883 en littérature|1883]] ==
=== ''[[w:Claude Gueux|Claude Gueux]]'', [[w:1834|1834]] ===
{{citation|L'Atlantique ronge nos côtes. [...]. Ce prodigieux travail, aujourd'hui ralenti, a été terrible. Il a fallu pour le contenir cet éperon immense, le Finistère. Qu'on juge de la force du flux polaire et de la violence de cet affouillement par le creux qu'il a fait entre Cherbourg et Brest. [...]. La dernière voie de fait décisive de l'océan sur notre côte a pourtant date certaine. En 709, soixante ans avant l'avènement de Charlemagne, un coup de mer a détaché Jersey de la France. D'autres sommets des terres antérieurement submergées sont, comme Jersey, visibles. Ces pointes qui sortent de l'eau, sont des îles. C'est ce qu'on nomme l'archipel normand.}}
{{citation
{{Réf Livre|titre de la contribution=L’Archipel de la Manche|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=3|volume=Roman III|chapitre=I (« Les anciens cataclysmes »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1883|collection=Bouquins|s=L’Archipel de la Manche}}
|citation=Au moment où l'aide le liait sur la hideuse mécanique, il fit signe au prêtre de prendre la pièce de 5 francs qu'il avait en sa main droite, et lui dit : "Pour les pauvres".<br/>Comme huit heures sonnait en ce moment, le bruit du beffroi de l'horloge couvrit sa voix, et le confesseur lui répondit qu'il n'entendait pas.<br/>Claude attendit l'intervalle de deux coups et répéta avec douceur : "Pour les pauvres".<br/>Le huitième coup n'était pas encore sonné que cette noble et intelligente tête était tombée.
|langue = {{fr}}
|précisions = Cette oeuvre s'inscrit dans le combat de Victor Hugo contre la peine de mort.
}}
{{réf Livre|titre=Claude Gueux|auteur=Victor Hugo|éditeur=Magnard (Classiques contemporains)|année=2000|page=43 lignes 698-706|s=Claude Gueux}}
 
=== ''[[w:Les Misérables|Les Misérables]]'', [[w:1862|1862]] ===
{{Loupe|Les Misérables}}
 
=== ''[[w:Les Travailleurs de la Mer|Les Travailleurs de la Mer]]'', [[w:1866 en littérature|1866]] ===
{{citation|On contemplait la mer, on écoutait le vent, on se sentait gagner par l’assoupissement de l’extase. Quand les yeux sont remplis d’un excès de beauté et de lumière, c’est une volupté de les fermer. Tout à coup on se réveillait. Il était trop tard. La marée avait grossi peu à peu. L’eau enveloppait le rocher.<br />
On était perdu. Redoutable blocus que celui-ci : la mer montante. La marée croît insensiblement d’abord, puis violemment. Arrivée aux rochers, la colère la prend, elle écume.}}
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À l’instant où le navire s’effaça à l’horizon, la tête disparut sous l’eau. Il n’y eut plus rien que la mer.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Les Travailleurs de la Mer|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=343|volume=Roman III|partie=Troisième partie : Déruchette|chapitre=V (« La grande tombe »)|section=livre troisième (« Départ du Cashmere »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1866|collection=Bouquins|s=Les Travailleurs de la Mer}}
 
=== ''[[w:Quatre-vingt-treize|Quatre-vingt-treize]]''', [[w:1874 en littérature|1874]] ===
 
<!-- En attendant que j'ai les pages des citations, Altrensa
== Théâtre ==
===''Hernani'', [[w:1830 en littérature|1830]] ===
* Voir l'article complet : [[Hernani]]
-->
 
== Autre genre ==
=== ''[[w:L’Archipel de la Manche|L’Archipel de la Manche]]'', [[w:1883 en littérature|1883]] ===
{{citation|L'Atlantique ronge nos côtes. [...]. Ce prodigieux travail, aujourd'hui ralenti, a été terrible. Il a fallu pour le contenir cet éperon immense, le Finistère. Qu'on juge de la force du flux polaire et de la violence de cet affouillement par le creux qu'il a fait entre Cherbourg et Brest. [...]. La dernière voie de fait décisive de l'océan sur notre côte a pourtant date certaine. En 709, soixante ans avant l'avènement de Charlemagne, un coup de mer a détaché Jersey de la France. D'autres sommets des terres antérieurement submergées sont, comme Jersey, visibles. Ces pointes qui sortent de l'eau, sont des îles. C'est ce qu'on nomme l'archipel normand.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=L’Archipel de la Manche|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=3|volume=Roman III|chapitre=I (« Les anciens cataclysmes »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1883|collection=Bouquins|s=L’Archipel de la Manche}}
 
{{interprojet|s=Victor Hugo|commons=Victor Hugo|w=Victor Hugo}}