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{{Réf Livre|titre de la contribution=Les Travailleurs de la Mer|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=343|volume=Roman III|partie=Troisième partie : Déruchette|chapitre=V (« La grande tombe »)|section=livre troisième (« Départ du Cashmere »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1866|collection=Bouquins|s=Les Travailleurs de la Mer}}
 
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{{citation|Le vieillard regarda le canonnier.<br />
- Approche, dit-il.<br />
Le canonnier fit un pas.<br />
Le vieillard se tourna vers le comte du Boisberthelot, détacha la croix de Saint-Louis du capitaine, et la noua à la vareuse du canonnier.<br />
- Hurrah ! crièrent les matelots.<br />
Les soldats de marine présentèrent les armes.<br />
Et le vieux passager, montrant du doigt le canonnier ébloui, ajouta :<br />
- Maintenant, qu’on fusille cet homme.<br />
La stupeur succéda à l’acclamation. [...].<br />
L’homme à la veste duquel brillait la croix de Saint-Louis courba la tête.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=814|volume=Roman III|partie=I (« En Mer ») |chapitre=VI (« Les deux plateaux de la balance »)|section=livre deuxième (« HalmaloLa Corvette Claymore »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Il tira de sa poche un carnet et un crayon, et écrivit sur le carnet le chiffre 128. [...].<br />
Le capitaine marqua sur son carnet le chiffre 52. [...].<br />
Et il écrivit au-dessous du chiffre 52 le chiffre 40 [...].<br />
Le capitaine écrivit au-dessous des premiers chiffres, 160. [...].<br />
Le capitaine avait l’œil fixé sur son carnet et additionnait entre ses dents.<br />
- Cent vingt-huit, cinquante-deux, quarante, cent soixante.<br />
En ce moment La Vieuville remontait sur le pont.<br />
- Chevalier, lui cria le capitaine, nous sommes en présence de trois cent quatre-vingts pièces de canon.<br />
- Soit, dit La Vieuville.<br />
- Vous revenez de l’inspection, La Vieuville ; combien décidément avons-nous de pièces en état de faire feu ?<br />
- Neuf.<br />
- Soit, dit à son tour Boisberthelot.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=818-819|volume=Roman III|partie=I (« En Mer ») |chapitre=VIII (« 9 = 380 »)|section=livre deuxième (« La Corvette Claymore »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Ah oui, c'est vrai, tu as raison, j'ai tué ton frère. Ton frère avait été courageux, je l'ai récompensé ; il avait été coupable, je l'ai puni. Il avait manqué à son devoir, je n'ai pas manqué au mien. Ce que j'ai fait, je le ferais encore. [...] en pareil cas, de même que j'ai fait fusiller ton frère, je ferais fusiller mon fils.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=827|volume=Roman III|partie=I (« En Mer ») |chapitre=II (« La parole, c’est le Verbe »)|section=livre troisième (« Halmalo »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Le regard devient fixe en présence de ce sommet. Jamais rien de plus haut n'est apparu sur l'horizon des hommes. Il y a l'Himalaya et il y a la Convention. La Convention est peut-être le point culminant de l'histoire.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=891|volume=Roman III|partie=II (« À Paris ») |chapitre=I (« La Convention »)|section=livre troisième (« La Convention »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Telle était cette Convention démesurée ; camp retranché du genre humain attaqué par toutes les ténèbres à la fois, feux nocturnes d'une armée d'idées assiégées, immense bivouac d'esprits sur un versant d'abîme. Rien dans l'histoire n'est comparable à ce groupe, à la fois sénat et populace, conclave et carrefour, aréopage et place publique, tribunal et accusé.<br />
La Convention a toujours ployé au vent ; mais ce vent sortait de la bouche du peuple et était le souffle de Dieu.<br />
Et aujourd'hui, après quatre-vingts ans écoulés, chaque fois que devant la pensée d'un homme, quel qu'il soit, historien ou philosophe, la Convention apparaît, cet homme s'arrête et médite. Impossible de ne pas être attentif à ce grand passage d'ombres.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=907|volume=Roman III|partie=II (« À Paris ») |chapitre=I (« La Convention »)|section=livre troisième (« La Convention »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|- Le marquis de Lantenac a l'honneur d'informer son petit-neveu, monsieur le vicomte Gauvain, que, si monsieur le marquis a la bonne fortune de se saisir de sa personne, il fera bellement arquebuser monsieur le vicomte. [...].<br />
Il se retourna, et éclaira de sa lanterne une autre affiche placée en regard de la première sur l'autre battant de la porte. Le voyageur lut :<br />
- Gauvain prévient Lantenac que s'il le prend il le fera fusiller.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=929|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=I (« Plus quam civilia bella »)|section=livre deuxième (« Les Trois Enfant »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|La Tour-Gauvain avait une destinée étrange : un Gauvain l'attaquait, un Gauvain la défendait.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=966|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=XI (« Affreux comme l'antique »)|section=livre deuxième (« Les Trois Enfant »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Cette grande charrette avec son chargement voilé d'une sorte de suaire, cet attelage, ces gendarmes, le bruit de ces chaînes, le silence de ces hommes, l'heure crépusculaire, tout cet ensemble était spectral.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=966|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=I (« La mort passe »)|section=livre quatrième (« La Mère »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Tuer Lantenac, c'était tuer la Vendée ; tuer la Vendée, c'était sauver la France. Cimourdain n'hésitait pas. Cet homme était à l'aise dans la férocité du devoir.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=996|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=VI (« Situation »)|section=livre quatrième (« La Mère »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation| Qu'est-ce, sergent Radoub ?<br />
- Citoyen commandant, nous, les hommes du bataillon du Bonnet-Rouge, nous avons une grâce à vous demander.<br />
- Laquelle ?<br />
- De nous faire tuer.<br />
- Ah ! dit Gauvain.<br />
- Voulez-vous avoir cette bonté ?<br />
- Mais... c'est selon, dit Gauvain.<br />
- Voici, commandant. Depuis l'affaire de Dol, vous nous ménagez. Nous sommes encore douze.<br />
- Eh bien ?<br />
- Ça nous humilie.<br />
- Vous êtes la réserve.<br />
- Nous aimons mieux être l'avant-garde.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=999|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=VIII (« Préliminaires »)|section=livre quatrième (« La Mère »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Un désespoir calme, froid, sinistre.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=1011|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=IX (« Les désespérés »)|section=livre quatrième (« La Mère »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Un grand cri s'éleva :<br />
- Tous sont sauvés !<br />
Tous étaient sauvés, en effet, excepté le vieillard. [...]<br />
- Je t'arrête, dit Cimourdain.<br />
- Je t'approuve, dit Lantenac.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=1030|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=III (« Où l'on voit se réveiller les enfants qu'on a vus se rendormir »)|section=livre cinquième (« In daemone Deus »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Gauvain venait d'assister à un prodige. En même temps que le combat terrestre, il y avait eu un combat céleste. Le combat du bien contre le mal.<br />
Un cœur effrayant venait d'être vaincu. Etant donné l'homme avec tout ce qui est mauvais en lui, la violence, l'erreur, l'aveuglement, l'opiniâtreté malsaine, l'orgueil, l'égoïsme, Gauvain venait de voir un miracle. La victoire de l'humanité sur l'homme. L'humanité avait vaincu l'inhumain.<br />
Et par quel moyen ? de quelle façon ? comment avait-elle terrassé un colosse de colère et de haine ? quelles armes avait-elle employées ? quelle machine de guerre ? le berceau.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=1033-1034|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=II (« Gauvain pensif »)|section=livre sixième (« C'est après la Victoire qu'a lieu le combat »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Quel champ de bataille que l'homme ! Nous sommes livrés à ces dieux, à ces monstres, à ces géants, nos pensées.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=1035|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=II (« Gauvain pensif »)|section=livre sixième (« C'est après la Victoire qu'a lieu le combat »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Cimourdain se tourna vers Radoub.<br />
- Vous votez pour que l'accusé soit absous ?<br />
- Je vote, dit Radoub, pour qu'on le fasse général.<br />
- Je vous demande si vous votez pour qu'il soit acquitté.<br />
- Je vote pour qu'on le fasse le premier de la république.<br />
- Sergent Radoub, votez-vous pour que le commandant Gauvain soit acquitté, oui ou non ?<br />
- Je vote pour qu'on me coupe la tête à sa place.<br />
- Acquittement, dit Cimourdain.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=1053|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=III (« Les votes »)|section=livre septième (« Féodalité et Révolution »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Une sombre colère entourait Cimourdain. Quatre mille hommes contre un seul, il semble que ce soit une force ; ce n'en est pas une. Ces quatre mille hommes étaient une foule, et Cimourdain était une volonté.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=1054|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=IV (« Après Cimourdain juge, Cimourdain maître »)|section=livre septième (« Féodalité et Révolution »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Tout dépendait de lui. Ce qu'il avait fait comme juge martial, seul, il pouvait le défaire comme délégué civil. Seul il pouvait faire grâce. Il avait pleins pouvoirs ; d'un signe il pouvait mettre Gauvain en liberté ; il était le maître de la vie et de la mort ; il commandait à la guillotine. En ce moment tragique, il était l'homme suprême.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=1054|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=IV (« Après Cimourdain juge, Cimourdain maître »)|section=livre septième (« Féodalité et Révolution »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Soit. Vous voulez le service militaire obligatoire. Contre qui ? contre d'autres hommes. Moi, je ne veux pas de service militaire. Je veux la paix. Vous voulez les misérables secourus, moi je veux la misère supprimée. Vous voulez l'impôt proportionnel. Je ne veux point d'impôt du tout. Je veux la dépense commune réduite à sa plus simple expression et payée par la plus-value sociale.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=1057|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=V (« Le cachot »)|section=livre septième (« Féodalité et Révolution »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Gauvain reprit :<br />
- Et la femme ? qu'en faites-vous ?<br />
Cimourdain répondit :<br />
- Ce qu'elle est. La servante de l'homme.<br />
- Oui. A une condition.<br />
- Laquelle ?<br />
- C'est que l'homme sera le serviteur de la femme.<br />
- Y penses-tu ? s'écria Cimourdain, l'homme serviteur ! jamais. L'homme est maître. Je n'admets qu'une royauté, celle du foyer. L'homme chez lui est roi.<br />
- Oui. A une condition.<br />
- Laquelle ?<br />
- C'est que la femme y sera reine.<br />
- C'est-à-dire que tu veux pour l'homme et pour la femme...<br />
- L'égalité.<br />
- L'égalité ! y songes-tu ? les deux êtres sont divers.<br />
- J'ai dit l'égalité. Je n'ai pas dit l'identité.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=1057-1058|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=V (« Le cachot »)|section=livre septième (« Féodalité et Révolution »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Un monstre de pierre faisant pendant au monstre de bois. Et, disons-le, quand l'homme a touché au bois et à la pierre, le bois et la pierre ne sont plus ni bois ni pierre, et prennent quelque chose de l'homme. Un édifice est un dogme, une machine est une idée.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=1061|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=VI (« Cependant le soleil se lève »)|section=livre septième (« Féodalité et Révolution »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|La Tourgue, c'était la monarchie ; la guillotine, c'était la révolution.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=1061|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=VI (« Cependant le soleil se lève »)|section=livre septième (« Féodalité et Révolution »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|les larmes des soldats sont terribles.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=1064|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=VI (« Cependant le soleil se lève »)|section=livre septième (« Féodalité et Révolution »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
{{citation|Et ces deux âmes, soeurs tragiques, s'envolèrent ensemble, l'ombre de l'une mêlée à la lumière de l'autre.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=Quatre-vingt-treize|auteur=Victor Hugo|titre=Œuvres complètes de Victor Hugo|éditeur=Robert Laffont|année=2002|page=1065|volume=Roman III|partie=III (« En Vendée ») |chapitre=VI (« Cependant le soleil se lève »)|section=livre septième (« Féodalité et Révolution »)|ISBN=2-221-09672-X|année d'origine=1874|collection=Bouquins|s=Quatre-vingt-treize}}
 
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