« Orson Welles » : différence entre les versions

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Benoit.83 (discussion | contributions)
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|année=1985
|page=53
}}
 
{{citation|Le théâtre perdure comme un sorte d'anachronisme divin, commme l'opéra, que je préfère de beaucoup, et le ballet auquel je ne comprends rien. Un art de représentation plus que de création, une source de joie et d'admiration, mais certainement pas une chose de notre temps.}}
{{Réf Livre
|titre=Moi, Orson Welles
|auteur=Peter Bogdanovich
|éditeur=Belfond
|année=1985
|page=42
}}
 
{{citation|La caméra, c'est un oeil, et une oreille. Cela t'emmène là où on la met. Le théâtre, c'est là où l'on t'emmène.}}
{{Réf Livre
|titre=Moi, Orson Welles
|auteur=Peter Bogdanovich
|éditeur=Belfond
|année=1985
|page=45
}}
 
{{citation|Cabotiner, c'est jouer faux. C'est ouvrir un sac à malices au lieu de faire monter la sauce. Le bon acteur, le véritable acteur de cinéma, ne peut jamais être trop fort. Ce qu'il ne doit pas faire, c'est s'étaler.}}
{{Réf Livre
|titre=Moi, Orson Welles
|auteur=Peter Bogdanovich
|éditeur=Belfond
|année=1985
|page=45
}}
 
{{citation|Il ne faut pas être timide avec la caméra, lui faire violence, la pousser jusque dans ses derniers retranchements, parce qu'elle est une vile mécanique. Ce qui compte, c'est la poésie.}}
{{Réf Livre
|titre=Orson Welles
|auteur=André Bazin
|éditeur=Petite bibliothèque des Cahiers du cinéma
|année=2002
|page=190
}}
 
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|année=1972
|page=114
}}
 
{{citation|''Citizen Kane'' et ''La splendeur des Amberson'' peuvent en définitive se ramener à une tragédie de l'enfance.
|précisions= André Bazin}}
{{Réf Livre
|titre=Orson Welles
|auteur=André Bazin
|éditeur=Petite bibliothèque des Cahiers du cinéma
|année=2002
|page=14
}}