« Joseph E. Stiglitz » : différence entre les versions

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'''[[w:Joseph E. Stiglitz|Joseph E. Stiglitz]]''' (à [[w:Gary (Indiana)|Gary]], [[w:Indiana|Indiana]] ([[w:États-Unisle {{date|États-Unis]]), 9 |février [[:Catégorie:Naissance en 1943|1943]] - }}) est un [[:Catégorie:Économiste|économiste]] [[:Catégorie:Personnalité américaine|américain]], [[w:Prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d'Alfred Nobel|« Prix Nobel » d'économie]] 2001.
 
== ''Principes d'économie moderne'', 2004 ==
{{Citation|L'analyse macroéconomique comme branche spécifique de l'analyse économique date de la publication de la ''Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie'' de John Maynard Keynes en 1936… Mais la macroéconomie moderne, comme discipline qui s'attache à comprendre pourquoi l'économie connait des épisodes comme la Grande dépression et pourquoi l'emploi et la Production fluctuent au courps du temps, commence avec Keynes.}}
{{Réf Livre
|auteur=Joseph E. Stiglitz et Carl E. Walsh
|titre=Principes d'économie moderne
|éditeur=de boeck
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|page=490
}}
 
==Aux frontières de l’économie du développement==
== ''[[w:La Grande Désillusion|La Grande Désillusion]]'', 2002 ==
==La grande désillusion==
 
==Quand le capitalisme perd la tête, 2003==
== ''Aux frontières de l’économie du développement'', 2003 ==
 
== ''Quand le capitalisme perd la tête'', 2003 ==
 
{{Citation|Le 11 septembre a révélé une face encore plus sombre de la mondialisation. Le terrorisme aussi franchit aisément les frontières. Ses racines sont complexes, mais le désespoir et le chômage massif qui règnent dans tant de pays du monde lui offrent un terreau fertile.}}
{{Réf Livre
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}}
 
{{Citation|Nulle idée n'a plus de force que la "main invisible" d'[[Adam Smith]].}}
{{Réf Livre
|auteur=Joseph E. Stiglitz
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}}
 
{{Citation|Si notre gestion de la mondialisation a tant déçu, c'est en raison de ''ce qui aurait pu être''. Avec la fin de la guerre froide, les États-Unis devenaient l'unique superpuissance - puissance militaire et économique dominante. Le monde attendait d'eux qu'ils prennent les choses en main. AÀ mon sens, quand on exerce un leadership, on ne peut pas tenter de refaire le monde uniquement dans son propre intérêt, et, s'il s'agit d'un leadership démocratique, on est tenu de faire avancer ses idées par la persuasion, non par l'intimidation, la menace de faire usage de sa force militaire ou économique.}}
{{Réf Livre
|auteur=Joseph E. Stiglitz
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}}
 
{{Citation|Un combat d'idée est en cours: les uns veulent réduire l'État à la portion congtuecongrue, les autres lui reconnaissent un rôle important, même s'il a des limites, pour corriger les insuffisances du marché - aussi faire progresser la justice sociale. Je me range parmi les seconds, et je ne me propose ici de prouver que les marchés, s'ils sont cœur de notre succès économique, ne fonctionnent pas toujours correctement tout seuls, qu'ils ne résolvent pas tous les problèmes et que l'État sera toujours pour eux un partenaire important.}}
{{Réf Livre
|auteur=Joseph E. Stiglitz
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}}
 
{{Citation|Avec la mondialisation, nous sommes tous interdépendants. On disait autrefois : lorsque les États-Unis éternuent, le Mexique s'enrhume. Aujourd'hui lorsque les États-Unis éternuent, une grande partie du monde attrape la grippe, et les problèmes actuels de l'Amérique sont bien plus graves que de simples reniflement...reniflement…<br />
La mondialisation ne se limite pas à la libre circulation transfontière des biens, des services et des capitaux. Elle accélère la circulation des idées.}}
{{Réf Livre
|auteur=Joseph E. Stiglitz
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|page=15
}}
 
{{interprojet|commons=Joseph E. Stiglitz|w=Joseph Eugene Stiglitz}}
 
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[[Catégorie:Homme]]
[[Catégorie:Naissance en 1943]]
 
[[en:Joseph E. Stiglitz]]