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Paquet à trier/vérifier en provenance de [[w:Martin Heidegger]] --[[Utilisateur:Irønie|Irønie]] 16 octobre 2007 à 21:41 (CEST)
 
*<s> « Le national-socialisme est un principe barbare. » ''Schwarze Hefte'', 1934</s>
* <s>« Toute ontologie, si riche et cohérent que soit le système catégorial dont elle dispose, demeure au fond aveugle et pervertit son intention la plus propre si elle n’a pas commencé par clarifier suffisamment le sens de l’être et par reconnaître cette clarification comme sa tâche fondamentale. » (''Être et temps'')</s>
* <s>« La philosophie ne peut jamais d'''une façon immédiate'' apporter les forces, ni créer les formes d'action et les conditions, qui suscitent une situation historique, ceci déjà pour la simple raison qu'elle ne concerne jamais immédiatement qu'un petit nombre d'hommes. » (''Introduction à la métaphysique'')</s>
* <s>« L'œuvre en tant qu'œuvre, nous demeurera hermétiquement close, aussi longtemps que pour la comprendre sous une forme quelconque, nous serons encore à loucher du côté de l'homme qui l'a créée, au lieu de nous interroger sur l'être et sur le monde qui en premier lieu fondent l'œuvre » (''Nietzsche I'')
* « Avec l'interprétation platonicienne de l'Être en tant qu'idea, commence la philosophie en tant que métaphysique » (''Nietzsche II'')
* « Le nouveau monde des Temps modernes a son propre fondement historial en cela et là même où toute histoire, tout événement, a son fondement essentiel : dans la métaphysique » (''Nietzsche II'')
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* « La métaphysique en tant que métaphysique, est l'authentique nihilisme. […] Pense-t-elle l'Être même ? Jamais. Elle pense ''l'étant'' eu égard à l'Être » (''Nietzsche II'')
* « Cette proximité de l'Être qui est en elle-même le "là" du ''Dasein'', le discours sur l'élégie ''Heimkunft'' de Hölderlin (1943) qui est pensé à partir de ''Sein und Zeit'' l'appelle "la patrie", d'un mot emprunté au chant même du poète et en partant de l'expérience de l'oubli de l'Être. Le mot est ici pensé en un sens essentiel, non point patriotique, ni nationaliste, mais sur le plan de l'histoire de l'Être. » ''Lettre sur l'humanisme''
* « Tout nationalisme est, sur le plan métaphysique, un anthropologisme et comme tel un subjectivisme. » ''Lettre sur l'humanisme''</s>
* « Nous pouvons utiliser les choses techniques, nous en servir normalement, mais en même temps nous en libérer, de sorte qu’à tout moment nous conservions nos distances à leur égard. Nous pouvons faire usage des objets techniques comme il faut qu’on en use. Mais nous pouvons en même temps les laisser à eux-mêmes comme ne nous atteignant pas dans ce que nous avons de plus intime et de plus propre. Nous pouvons dire « oui » à l’emploi inévitable des objets techniques et nous pouvons en même temps lui dire « non », en ce sens que nous les empêchions de nous accaparer et ainsi de fausser, brouiller et finalement vider notre être. (…) Un vieux mot s’offre à nous pour désigner cette attitude du oui et du non dits ensemble au monde technique : c’est le mot de ''Gelassenheit'' (sérénité)» ''Questions III et IV'', tel, Gallimard, Paris, 1966, 1976, p. 145.
* « Le plus périlleux des biens, la langue » (Hölderlin, que cite Heidegger, in ''les Hymnes de Hölderlin'')
* « La langue n'est pas quelque chose que l'homme posséderait parmi d'autres propriétés et outils, mais bien ce qui possède l'homme » (''idem'')
* <s>« Grâce à la langue, l'homme est le témoin de l'Être […] le monde ne règne que là où il y a langue. Et là seulement où il y a monde, c'est-à-dire langue, il y a suprême péril, ''le péril'' par excellence, c'est-à-dire la menace que fait peser le non-être sur l'être en tant que tel. » (''Hymnes de Hölderlin'')
* « "est" circule dans le langage comme le mot le plus usé qui soit. » (''Nietzsche II'')
* « L'Être est ce qu'il y a de plus compréhensible …[et] dans le même temps ce qu'il y a de moins conçu et apparemment de non-concevable. » (''Nietzsche II'')
* « L'Être est ce qu'il y a de plus oublié […]. Tous nous courons sans cesse après l'étant ; à peine en est-il un qui médite jamais l'Être. » (''Nietzsche II'')</s>
* « Pour l’homme essentiel, le combat est la grande épreuve de tout être : dans lequel se décide si nous sommes nous-mêmes des esclaves ou des maîtres […] Notre race -nous dans notre camaraderie pleine de mystère avec les camarades morts- est le pont vers la conquête historico spirituelle de la Grande Guerre. » (GA tome 16, "25 Jahre nach unserem Abiturium", 26./27. Mai 1934, p.283-284)
* « La pensée de la race, cela veut dire que le fait de compter avec la race jaillit de l’expérience de l’être en tant que subjectivité et n’est pas quelque chose de "politique". Le dressage-de-la-race [Rasse-züchtung] est une voie de l’affirmation de soi [Selbstbehauptung] en vue de la domination. Cette pensée vient à la rencontre de l’explication de l’être comme "vie", c’est-à-dire comme "dynamique". »(GA tome 69 [1938-1940], "Das Wesen der Macht", p. 70)
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:Problème aussi : les GA sont à ma connaissance publiées qu'en allemand — d'où sortent alors les traductions ?
:J'essayerai de démêler ça, mais j'aurai besoin d'aide. [[Utilisateur:Mmenal|Manuel Menal]] 17 octobre 2007 à 00:11 (CEST)
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::*grimace* --[[Utilisateur:Irønie|Irønie]] 17 octobre 2007 à 00:38 (CEST)
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