« Harlan Coben » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Altrensa (discussion | contributions)
m →‎Juste un regard, 2005 : correction page
Toutoune25 (discussion | contributions)
ortho, suppression lien int. dans citation, {{Date}}, ajout cat
Ligne 1 :
'''Harlan Coben''', né le {{Date|4 |janvier [[:Catégorie:Naissance en 1962|1962]]}}, est un [[:Catégorie:écrivain|écrivain]] [[:Catégorie:Personnalité américaine|américain]]. Il a reçu le '''Prix des Lectrices ELLE''' pour ''Ne le dis à personne...'' sorti en [[w:2003|2003]] et adapté en [[w:2006|2006]] au cinéma.
 
== ''Ne le dis à personne...'', [[w:2002|2002]] ==
 
{{citation|citation=Les souvenirs, ça fait mal. Surtout les bons.}}
==''Ne le dis à personne...'', [[w:2002|2002]]==
{{citation|citation=Les souvenirs, ça fait mal. Surtout les bons.
}}
{{Réf Livre|titre=Ne le dis à personne...
|auteur=Harlan Coben
Ligne 16 ⟶ 14 :
}}
 
== ''Juste un regard'', [[w:2005|2005]] ==
{{citation|citation=Se pouvait-il cependant que la mort et les grandes tragédies affectent moins les personnes âgées que le reste d'entre nous ? [...] Les vieilles gens s'affolaient facilement pour des broutilles - retards dans les transports, files d'attente à l'aéroport, service de mauvaise qualité - . Mais les choses importantes ne semblent pas les atteindre. EtaitÉtait-ce une étrange forme d'égocentrisme qui venait avec l'âge ? EtaitÉtait-ce la proximité de l'inéluctable qui vous poussait à intérioriser, occulter ou chasser de votre tête les catastrophes majeures ? Serait-ce qu'une constitution fragile, un mécanisme de défense, un instinct de survie prenait le relais ?}}
}}
{{Réf Livre|titre=Juste un regard
|auteur=Harlan Coben
Ligne 30 ⟶ 27 :
}}
 
{{citation|citation=La vieillesse rendait-elle insensible à la souffrance ou était-ce simplement le masque qui gagnait en solidité ?}}
}}
{{Réf Livre|titre=Juste un regard
|auteur=Harlan Coben
Ligne 43 ⟶ 39 :
}}
 
{{citation|citation=Son regard exprimait la sagacité et la tristesse. Peut-être l'explication à la froideur du grand âge est-elle beaucoup plus simple : ces yeux là ayant vu trop de mal, ils ne veulent pas en voir davantage. }}
}}
{{Réf Livre|titre=Juste un regard
|auteur=Harlan Coben
Ligne 56 ⟶ 51 :
}}
 
{{citation|citation=Les différents stades de la douleur : en principe, c'est censé commencer par le déni. Faux, en fait, c'est même tout le contraire : une acceptation totale. On entend la mauvaise nouvelle, on comprend très exactement ce qu'on est en train de vous dire. On comprend qu'un être aimé - votre conjoint, votre parent, votre enfant - ne rentrera plus, qu'il a disparu définitivement, que sa vie est finie et que jamais, jamais vous ne le reverrez. Tout ça, vous le comprenez en un éclair. Vos jambes flageolent, votre coeurcœur lâche. C'est le premier pas : pas seulement l'acceptation, pas seulement la compréhension, mais la vérité dans toute son horreur. Les êtres humains ne sont pas faits pour supporter une souffrance pareille, alors c'est là qu'intervient la déni. Le déni s'installe rapidement, pour guérirlesguérir les blessures ou du moins les panser. Cependant, il y a toujours ce moment - bref, Dieu merci -, le véritable stade numéro un, où l'on entend la nouvelle, on se penche au-dessus de l'abîme et, aussi atroce que cela puisse paraître, on comprend tout.}}
}}
{{Réf Livre|titre=Juste un regard
|auteur=Harlan Coben
Ligne 69 ⟶ 63 :
}}
 
{{citation|citation=Mais quelles étaient les conséquences sur la santé mentale d'une musique, probablement âpre et violente, qui résonnait non-stop dans les oreilles ? Isolement auditif, murailles solitaires du son, pour paraphraser [[Elton John]], et aucune échappatoire possible. Aucun bruit de la vie ne filtre jusqu'à vous. AuncuneAucune parole vivante. Votre existence se déroule sur bande-son artificielle.}}
}}
{{Réf Livre|titre=Juste un regard
|auteur=Harlan Coben
Ligne 82 ⟶ 75 :
}}
 
{{citation|citation=Wu aimait bien songer à ces choses-là, ces petits détails insignifiants, inconscients, sur lesquels nous n'avons pas de prise et qui peuvent changer le cours de notre vie. Appelez cela destinée, chance, hasard, Dieu. Wu trouvait ça passionnant.}}
}}
{{Réf Livre|titre=Juste un regard
|auteur=Harlan Coben
Ligne 95 ⟶ 87 :
}}
 
{{citation|citation=Quand on se retrouve enfermé dans le noir, seul avec ses pensées, l'esprit se tourne en dedans et c'est la débandade. C'était ça, le plus grand danger. Le gage de la sérénité était de continuer à travailler, à aller de l'avant. Quand on avance, on ne pense pas à la culpabilité ou à l'innocence. On ne pense pas au passé, à ses rêves, à ses bonheurs ou à ses déceptions, on se préoccupe juste de survivre, de prendre des coups ou d'en donner. De tuer ou d'être tué.}}
}}
{{Réf Livre|titre=Juste un regard
|auteur=Harlan Coben
Ligne 109 ⟶ 100 :
 
 
{{citation|citation=Son arme principlaeprincipale était l'ordinateur, le meilleur bastion des anonymes et des lâches.}}
}}
{{Réf Livre|titre=Juste un regard
|auteur=Harlan Coben
Ligne 122 ⟶ 112 :
}}
 
{{citation|citation=Le danger des jeux vidéos était qu'ils vous coupaient du monde extérieur. Le charme des jeux vidéos était qu'ils vous coupait du monde extérieur.}}
}}
{{Réf Livre|titre=Juste un regard
|auteur=Harlan Coben
Ligne 135 ⟶ 124 :
}}
 
{{citation|citation=Un homme pouvait se sacrifier par machisme, par stupidité ou du fait d'une fois aveugle en une hypothétique victoire. Une femme se sacrifiait sans se raconter de bobards.}}
}}
{{Réf Livre|titre=Juste un regard
|auteur=Harlan Coben
Ligne 149 ⟶ 137 :
 
{{citation|citation=Leur principal lien était Ryan, davantage dans la mort que dans la vie, et ça, ce n'était pas très sain.
|précisions="Leur" fait référence aux parents de Ryan, leur enfant décédé.}}
}}
{{Réf Livre|titre=Juste un regard
|auteur=Harlan Coben
Ligne 162 ⟶ 149 :
}}
 
{{interprojet|w=Harlan Coben}}
 
 
{{DEFAULTSORT:Coben, Harlan}}
[[Catégorie:Personnalité américaine]]
[[Catégorie:écrivainHomme]]
[[Catégorie:Écrivain]]
[[Catégorie:Naissance en 1962]]
 
{{interprojet|w=Harlan Coben}}